Bienvenue jeunes padawans. ♥️ Le forum est officiellement rouvert!
Soyez originaux, mes chéris. Priorisez les opposants et les sang mêlés qui ne descendent pas directement des Trois Grands. Nous nous donnons le droit de les refuser. Merci ♥️ Cliquez.
N'oubliez pas d'aller voter ici aux deux heures pour nous ramener pleins de nouveaux amis/ennemis. ღ
-20%
Le deal à ne pas rater :
-20% Récupérateur à eau mural 300 litres (Anthracite)
79 € 99 €
Voir le deal

Partagez
 

 N'essayez pas de le changer, ici bas nul n'est parfait. [Roseann]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
avatar
Invité
Invité

N'essayez pas de le changer, ici bas nul n'est parfait. [Roseann] Empty
MessageSujet: N'essayez pas de le changer, ici bas nul n'est parfait. [Roseann]   N'essayez pas de le changer, ici bas nul n'est parfait. [Roseann] EmptyMar 12 Mai - 22:42

Roseann ∞ John
Dur la vie d’un demi-dieu. Non mais vraiment, c’était étrange comme vie, comment les gens trouvaient la motivation de se lever le matin pour aller se faire castagner soit par des potes, quels potes aimeraient vraiment castagner la tête de leurs amis, déjà ce n’était pas la définition du mot pote qu’utiliserait John, pas non plus sûr qu’il rêve d’avoir un ami toujours prêt à lui en mettre plein la tronche. Les réveils le matin pour aller faire des entraînements, très peu pour lui, en plus, c’était sans compter sur Lily qui s’était mis en tête ces derniers jours de faire des tours de gardes pour protéger le camp. Pff, ok l’idée était pas vraiment mauvaise mais c’était d’un ennui mortel les rondes, à croire que des partisans allaient venir faire un brunch avec les demi-dieux, puis même, quelle idée d’aller attaquer les camps… ils seraient complètement couillons, il valait mieux s’en prendre aux réserves d’ambroisie… déjà fait… Bon d’accord, s’ils avaient atteint les réserves, c’était peut-être qu’il n’y avait pas de tour de garde chez les Grecs… génial, toujours les mêmes les fautifs…
John avait donné de sa personne pour protéger ce camp, pas vraiment pour l’intérêt qu’il y avait à protéger chacun des membres, quoi qu’il mentait un peu en disant ça, il les aimait bien ses camarades et il y avait cette sensation de bonheur qu’il avait l’impression de découvrir, comme s’il était à sa place parmi les demi-dieux, ce qui lui posait des petits problèmes, son puzzle n’était toujours pas réussi, difficile de savoir qu’il était et Poséidon avait rien voulu lui dire sur l’amnésie... Bizarre ces dieux, ça ne donnait pas spécialement envie de se battre pour eux mais puisque les Grecs étaient cools, que Lily essayait tant bien que mal d’aider son camarade à contrôler son don, il n’allait pas prendre ses affaires et se casser. En revanche, hors de question qu’il fasse une ronde aujourd’hui, qu’il se batte à l’épée ou tout autre arme, peu importe, encore moins qu’on lui demande encore et toujours de contrôler son don. Si le don ne voulait pas marcher, et bien il ne marchait pas, ils n’allaient pas le forcer quand même.

Raison pour lequel, le demi-dieu sortit discrètement, encore que difficile de dire que John était l’idée qu’on se faisait de la discrétion. Le truc, c’est que la seule personne qu’il croisa n’était autre que Morgane et comment dire, ce n’était pas la fille dont il fallait s’inquiéter, il prétexta avoir une mission de la part de monsieur D. lui-même, elle se contenta de hocher la tête, de lui souhaiter bonne chance, sérieux… cette fille était une bénédiction du ciel pour s’échapper du camp, elle ne répéterait jamais rien et elle prenait tout ce que les autres disaient pour vérité. Si Déméter était vraiment comme ça, les autres dieux devaient en profiter un max. Peu importe, en fait, il en avait rien à faire des problèmes des dieux, déjà se battre pour eux, c’était parfois clairement pas logique. C’était comme de demander à une armée de fourmi de se battre pour les demi-dieux, complètement immoral, pas logique et pas drôle du tout. Merde, si John possédait des pouvoirs capables de raser des forêts, désolé Déméter au passage, qu’est-ce que ça devait être pour des véritables dieux, une simple formalité.

Non, aujourd’hui, il voulait expérimenter un truc tout simple : les glaces italiennes. Pour ça, pas trente-six mille solutions, il fallait se rendre à New York. Il attrapa donc la navette l’emmenant en ces lieux. Durant tout le voyage, il était installé contre un petit qui jouait à un jeu très étrange où il fallait envoyer des sortes de monstres de toutes les couleurs se battre. John essayait de comprendre la logique et visiblement, son professeur du jour n’était pas l’enfant le plus patient au monde, à chaque fois qu’il perdait, ce qui arrivait quand même beaucoup, il tapait sa sorte de machine sur ses genoux. John voulait la même chose pour le coup, ce petit bidule avait l’air trop bien, même si ce n’était pas son genre du tout  de s’énerver parce qu’il perdait quelque chose, non lui il savait quand même se contrôler. Il n’empêche que quand son drôle de camarade descendit avec son père, truc totalement incompréhensible pour John au passage, d’après lui, seul les mères s’occupaient de leurs enfants mais d’où lui venait cette certitude puisqu’il était certain de ne pas avoir d’enfants, aucune idée.

Une fois, à son tour, sortit du bus, les immeubles tout autour de sa personne lui donnèrent du vertige. Comment les hommes arrivaient à faire des trucs aussi hauts. Le pire, c’était que monsieur avait envie de monter tout en haut du plus haut des gratte-ciel pour pouvoir regarder le monde à ses pieds, pas comme le maître du monde mais parce qu’il avait l’impression que cette sensation serait de loin la plus intense jamais vécu. Tout d’abord, la glace, tout le monde se plaignait de la chaleur à l’intérieur du camp, des envies de glace pour se rafraichir et John voulait tenter l’expérience. Quelle plaie d’être amnésique quand même, puis ça passait pas ce truc à la con, il avait dû se cogner bien fort pour le devenir. Déambulant dans les différentes allées du parc, à la recherche de ce que pouvait bien être une glace, un gamin insupportable, vraiment très insupportable, faisait un caprice pour en avoir une. John l’observa durant environ deux minutes, se demandant comment il pouvait brailler autant en étant si jeune. Quoi qu’il en soit, ses parents cédèrent et John s’empressa de les suivre jusqu’au marchand de glace. Comme un gosse, il observa avec attention tous les parfums qu’il y avait, se demandant même comment une fraise pouvait devenir de cette consistance, ça ne ressemblait pas vraiment aux fraises de la colonie. Quand vint son tour, il déposa quelques dollars sur le comptoir et récupéra sa glace. Plutôt que de la manger immédiatement, il chercha un banc, après tout c’était une chose importante, la première glace du monde. Il s’installa à côté d’une jeune fille blonde, sur un banc et constata assez amer, que ce truc-là fondait super vite. Ce n’était pas du tout agréable d’avoir de la glace à la fraise partout sur les mains et même en compagnie d’une parfaite inconnue, il n’allait pas s’amuser à se lécher les doigts un à un, à la place il grogna frustré, ne comprenant pas vraiment.

« C’est quoi ce truc qui dégouline, c’est nul les glaces. »


Afin de ne pas tout perdre et de ne pas avoir les mains plus dégoutantes qu’actuellement, il s’empressa de poser ses lèvres sur la boule rose et écarquilla les yeux de stupeur en sentant la fraicheur de ce machin. Il n’y a pas à dire, cette expérience était des plus déconcertantes et c’était plutôt cool. Comme un véritable gamin, il adressa un sourire tout content à sa voisine, qui devait peut être le prendre pour un fou. Tant pis pour elle, au moins lui il était un demi-dieu et savait pleins de chose qu’elle ne saurait jamais, ça valait bien toutes les consolations du monde.

code by Silver Lungs
avatar
Invité
Invité

N'essayez pas de le changer, ici bas nul n'est parfait. [Roseann] Empty
MessageSujet: Re: N'essayez pas de le changer, ici bas nul n'est parfait. [Roseann]   N'essayez pas de le changer, ici bas nul n'est parfait. [Roseann] EmptyMar 12 Mai - 23:22

Mai 2011, 10h30 du matin.  « Je sors, Octave, me cherche pas. En cas de problème... Bah débrouillez-vous. », hurla la blonde a son chef de cohorte. Pour le moment, elle n'avait pas vraiment la tête à s'entraîner, même si elle avait tout de même accompli des exploits ce matin-là, après trois tasses de cappucino à la vanille française. La jeune femme se disait qu'il valait mieux qu'elle sorte du terrain pour le moment, parce que son corps était épuisé. Elle avait pris sa douche, et puisqu'il s'agissait d'une chaude journée, elle avait décidé d'aller en ville, à New-York. La belle alla enfiler un short foncé et un débardeur blanc, et surmonta ses cheveux en une queue de cheval haute, bien peignée. Quelques touches de maquillage ici et là, et la jeune demi-déesse était fin prête. Elle enfila ses habituelles baskets, et pris son sac à main, avant de sortir du camp. Peut-être était-ce dangereux, mais elle voulait absolument visiter la grosse pomme. Elle n'en avait jamais eu l'occasion, ou presque, de s'aventurer dans cette merveilleuse ville. La belle trouvait qu'il s'agissait de l'occasion parfaite, puisqu'Octave lui donnait congé, si on voulait. Il avait décidé que puisqu'elle avait aidé à entraîner les nouveaux venus, la légionnaire pouvait sortir, aujourd'hui. Elle ne se l'était pas fait dire deux fois, et ce n'était assurément pas entré dans l'oreille d'une sourde. Elle avait vraiment envie de faire cette sortie, et elle allait même en profiter pour aller s'empiffrer dans les nombreux restaurants de la ville. Elle voulait aussi visiter Central Park, ainsi que ... Tout, en fait. Elle agissait en parfaite petite touriste, puisqu'elle venait de Las Vegas, et qu'elle n'avait jamais vu New-York.

La jeune femme sut qu'elle allait devoir prendre la navette pour s'y rendre. Néanmoins, en tant que demi-déesse, elle n'avait jamais fait ça et ça lui fichait un peu les boules. La demoiselle prit place complètement au fond, se reculant du monde. La fille de Chioné avait beau être sociable, lorsqu'il y avait autant de monde, elle était timide. Elle ne les connaissait pas, ils n'étaient pas comme les légionnaires, sa famille. Et c'était franchement intimidant de se retrouver parmi tout ce monde, qui ne se gênaient pas pour zieuter un peu trop bas. Ils lui rappelaient Ethan, le mec qui mate toutes les filles du Camp Jupiter, sans se soucier des conséquences et des gifles sur la gueule. Roseann avait voulu lui foutre une raclée plus d'une fois, mais jamais elle n'en avait eu l'occasion. Même leur première rencontre, leur combat avait été annulé puisque son bras droit était dans l'impossibilité de combattre. Depuis, Thomas l'avait soignée grâce à de l'ambroisie, ce qui avait soulagé la blessure. Mais il avait fallu déplacer à nouveau l'épaule, et la remettre en place. Ça avait fait un mal de chien, elle s'en souvenait parfaitement. Le pire, c'est qu'elle avait été interdit de combat pendant un sacré moment et ça, elle n'avait pas du tout apprécié. C'était comme être privé de sucette à la cerise : complètement impensable.

La demi-déesse arriva à New-York, fascinée. Les buildings, le monde de ouf... C'était impressionnant, sérieusement. Jamais n'avait-elle pensé que cela pourrait être aussi beau. Et chaud, surtout. Heureusement qu'elle avait pensé à nouer ses cheveux avant de venir et qu'elle s'était habillé adéquatement. La jeune femme erra de longs instants dans la ville, avant de constater que son estomac demandait à être nourri. Le grondement qu'il émit à ce moment-là la gêna, car une personne se retourna sur son passage. C'était de la folie, complètement.
Lorsqu'elle entra dans Central Park, l'immensité devant elle la figea. Elle resta là, comme une dingue, pendant dix bonnes secondes, à tout regarder autour d'elle. Des oiseaux passèrent à une vitesse folle et des gens, aussi. Ils jurèrent car elle ne s'était pas poussée, et Roseann faillit aller les voir et leur demander s'ils avaient un problème et si oui, qu'ils pouvaient régler ça à coup d'épée, là, maintenant. Son bracelet en or impérial la démangea tellement elle avait envie d'aller leur en mettre plein la vue, mais la romaine prit de grandes inspirations pour se calmer, et elle entendit un son familier à ce même moment. Un marchand de glace venait d'arriver, et la jeune adulte comptait bien en profiter, pire qu'une enfant de dix ans. La blonde se lança en rigolant et arriva en premier devant l'homme, qui lui demanda ce qu'elle voulait. Pendant un bon moment, elle hésita entre pistache et chocolat, et demanda au final pistache. Elle lui donna son argent, en se retenant bien pour ne pas payer en drachmes, et elle alla s'asseoir sur un banc avoisinant, en regardant le parc naturel dans lequel elle se trouvait.

Elle se sentait drôle. Comme une enfant à Noël, comme quelqu'un qui s'ouvrait à ce qui avait toujours été devant elle. Rosie sourit comme une idiote pendant dix bonnes minutes, en train de dévorer sa glace, qui fondait à vue d'oeil, avant de remarquer qu'un jeune homme venait de s'installer à côté d'elle. Il était beau, c'était une évidence, mais il semblait manger une glace pour la première fois, ce qui la fit hausser un sourcil. Il avait dit que les glaces étaient nulles, ce qui était faux. Il fallait simplement savoir comment les déguster, et surtout, ne pas se presser. « Il faut les déguster, les glaces. », dit-elle, d'une voix presque faible. Elle lécha la sienne et en voyant les mains de son voisin, elle lui tendit des petites serviettes en papier. Cela pourrait être vachement utile, pour une fois. « Vous n'avez jamais goûté à une glace, avant? » La romaine leva un sourcil, avec un sourire pendu aux lèvres. Elle ne savait résister au charme d'un beau garçon, surtout de ceux qui dégageaient cette bonne humeur et ce sourire. La jeune femme termina son délice sucré et glacé, avant d'à nouveau adresser un sourire franc au garçon, « Pour ma part, c'est la première fois que je vois le fameux Central Park. Et New-York, par la même occasion. » Elle rigola. Ça allait paraître étrange, puisque habituellement, aux États-Unis, tout le monde avait visité New-York au moins une fois. Pour la demi-déesse, cela avait tardé. Les entraînements d'abord et avant tout!
avatar
Invité
Invité

N'essayez pas de le changer, ici bas nul n'est parfait. [Roseann] Empty
MessageSujet: Re: N'essayez pas de le changer, ici bas nul n'est parfait. [Roseann]   N'essayez pas de le changer, ici bas nul n'est parfait. [Roseann] EmptyVen 15 Mai - 11:56

Roseann ∞ John
Le regard de la voisine sur John le fit faire un petit sourire, pas le genre de sourire dragueur, pas non plus celui pour plaire aux gens, plutôt celui un peu gêné de s’être fait prendre la main dans le sac. Ce n’était pas aussi la chose la plus simple au monde que de déguster une glace. La sensation de froid était vraiment incroyable, l’impression désagréable d’avoir un glaçon qui franchissait l’espace des lèvres pour se retrouver sur la langue et faire disparaître toute sensation habituelle. La sensation pas franchement des plus agréable cédait vite place à une surprise toute plaisante, celle d’avoir un goût en pleine bouche. S’il n’y avait rien de comparable avec les fraises dégoulinante de sucre que le fils de Zeus trouvait le moyen de voler dans les grands champs des filles de Déméter, il y en avait tellement que ce n’était pas vraiment un crime. La glace à la fraise était totalement différente, pourtant passé la première minute à s’habituer à cette sensation de froid, il lapa avec un manque d’habilité sidérant le sommet de la boule rose parfumée, la voisine lui fit remarquer qu’il fallait déguster la glace. Il s’arrêta de bouger, complètement niais comme réaction, surtout lorsque la langue est posée sur la glace, faut dire que le message n’était pas des plus simples, déguster ? S’il faisait cela, prenait son temps pour la manger, elle risquait de fondre et déjà que ses doigts étaient tout dégoulinants, oui exactement de la même façon que ce gosse de quatre ans, à quelques pas d’eux qui à la couleur de la substance qu’il avait sur les mains, venait de manger une glace au chocolat dans la majeur partie avait terminée sur le sol, aussitôt léchouiller par un chien gris. John eut le réflexe de rapprocher sa glace de lui, aucun chien ne viendrait la manger, s’il fallait, il le foudroyait. La petite blonde à côté de lui ne semblait absolument pas déranger par la présence d’un animal tout poilu et goinfre pas loin d’elle. Au contraire, elle semblait sur son petit nuage à manger sa glace et John s’empressa de l’imiter. Il devait avoir l’air d’un parfait petit imbécile à ne savoir trop comment s’en sortir puisqu’elle lui tendit une serviette, loin de se vexer, les yeux du demi-dieu débutant s’illuminèrent et il s’empressa d’essuyer ses doigts essayant d’être un peu digne, même si visiblement, ce n’était pas vraiment flagrant la dignité de John. La question toute simple, évidente même le fit froncer les sourcils, impossible de s’en souvenir, il fit une moue dubitative avant de reconnaître, un peu gêné.

« Je crois bien que non, ça crève les yeux ? »

La petite dévoreuse de glace ne sembla pas se formaliser d’être assise à côté d’un gars en retard sur son temps, son sourire ne quittait pas son visage. Il devait même avoir l’air plutôt accueillant puisqu’elle commença à lancer la conversation. Il observa à son tour Central Park. S’il était déjà venu ici, il n’en avait pas le moindre souvenir, ce qui ne détonait pas de d’habitude en fait, cette constante impression que tout un pan de sa vie s’était fait la malle bien comme il faut. A force, John s’était bel et bien habitué et ça ne le dérangeait plus autant. Pour le coup, il avait très envie de visiter New York en sa compagnie, puisqu’il n’était jamais venu non plus, il ne pouvait pas se prétendre être un guide d’exception, surtout que le sens de l’orientation de John devait être bien foireux tout de même. Il se leva d’un bond, avec souplesse, l’entraînement de demi-dieu ça paye quand même à ce niveau-là. Il ne faut cependant pas oublier les nombreuses blessures, à croire que ça pousse sur les corps ces trucs là et les courbatures, bon sang qu’est-ce que John avait pu détester Lily au départ, peut-être pour ça qu’il avait manqué de l’électrocuter, mais aussi de l’embrocher avec une flèche. Oui, les erreurs ça arrive mais à ce point, ça ressemble à de l’acharnement. Peu importe, John voulait visiter les lieux et avec cette personne dont il ne connaissait même pas le nom, habituellement, les gens se présentaient avec nom prénom et de quel dieu ils provenaient, sauf qu’avec des inconnus rencontrés en dehors de la colonie, c’était risquer d’être pris pour un fou.

« Vous venez d’où alors ? C’est la première fois que je viens ici, aussi. Si vous voulez on peut faire un tour ensemble pour découvrir, au moins le parc. Je m’appelle John. »

Pas de question, c’est mieux sans question comme ça, aucune impression d’être contraint à donner le sien, elle pouvait le rembarrer et dire qu’elle serait mieux toute seule. Le problème des filles, elles ont toujours un caractère à la con, elles n’aiment pas être protégés, elles n’aiment pas qu’on les suive mais en même temps, ce sont les premières à râler si vous les laissez tomber. De toute façon, les filles c’est chiant, John en avait la certitude. Si au départ, il s’était éclaté à chercher sa femme, il avait fini par se dire qu’il y gagnait certainement au change d’être alzheimer précoce et qu’à coup sûr, sa femme était une emmerdeuse professionnelle, le genre pot de colle, à toujours croire qu’il était avec une autre, enfin la routine des emmerdeuses quoi. En plus, John savait qu’il était fidèle (mais oui on y croit tous^^) et qu’elle se montait le bourrichon toute seule. A présent, il était très bien tout seul et s’il ne s’était pas mis en quête d’une copine, c’est parce que la fille d’Aphrodite qui lui servait presque de mentor était une collante, à croire que même respirer il ne savait pas le faire bien.

Afin de ne pas avoir l’air d’attendre impatiemment la réponse de la demoiselle blonde, même si c’était le cas, le fils de Zeus se dirigea, l’air guilleret vers la poubelle et y déposa les papiers, bien salis par la glace. Il se tourna finalement vers la petite blonde l’air de rien, histoire de savoir si elle venait ou non. Ce serait dommage qu’elle refuse mais les filles, c’est toujours compliqué non ?
Spoiler:

code by Silver Lungs
Contenu sponsorisé

N'essayez pas de le changer, ici bas nul n'est parfait. [Roseann] Empty
MessageSujet: Re: N'essayez pas de le changer, ici bas nul n'est parfait. [Roseann]   N'essayez pas de le changer, ici bas nul n'est parfait. [Roseann] Empty

Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Tout serait parfait si le monde était un monde de paix comme il ne l'est jamais[Rani]
» Roseann ± Young & Reckless.
» the deepest wounds are hidden by the most beautiful smile. + roseann
» Car changer de vie c'est tout un art PvDiana
» Une rencontre peut tout changer PV Chase

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Heroes of Honor :: Corbeille du forum :: Corbeille du forum :: Les anciens RPs-