| Sujet: she's a supernova. Jeu 28 Aoû - 16:06 | |
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nova-jude sasha hawkins « Mamma told me not to waste my life. She said « Spread your wings my little butterfly. Don't let what they say keep you up at night. And they can't detain you 'cause wings are made to fly. » And we don't let nobody bring us down. No matter what you say it won't hurt me. Don't matter if I fall from the sky, these wings are made to fly. » Nom • Hawkins. Prénoms • Nova-Jude et Sasha. Surnoms • Nova, ça convient parfaitement. Date de naissance • le seize novembre. Âge • bientôt vingt-et-un ans. Lieu de naissance • Chicago. Origine • américaine. Années passé dans votre camp • un an à tout casser. Statut social • célibataire parce que la liberté, c’est mieux. Orientation sexuelle • hétéro aux dernières nouvelles, mais bon. Avatar • Marie Avgeropoulos. Crédit • tumblr. | Élément • l’alcool ! non, pardon, Terre. Parent divin • le mec du vin-là… Dionysos. Pouvoir • confusion, c’est-à-dire que, oh surprise, elle peut rendre les pensées d’autrui confuses, un peu comme dans Pokémon vous m’voyez. Arme et objet magique • un fouet tranchant, qu’elle adore, hé ouais… oh, et sinon, un spray au poivre pour asperger les monstres et demi-dieux un peu trop collants. Camp choisi • les partisans de Gaïa. Rêve d'avenir • y’a pas d’rêves, juste de l’insouciance. | | |
..IL ETAIT UNE FOIS.. ..IL Y A BIEN LONGTEMPS.. Elle n’avait jamais trop réfléchi, au fond, Nova. Un peu trop légère, un peu trop insouciante, un peu trop suiveuse, un peu trop curieuse, elle n’avait pas compris tout de suite dans quoi elle s’engageait. Dit comme ça, ça ressemblait à son entrée dans l’armée, et peut-être que c’était ça, en fait… Mais la demoiselle s’en fichait ou, plutôt, elle n’en avait pas conscience, elle… Elle savait d’une certaine façon que Gaïa, Tartare, blablabla, c’était quelque chose d’important… mais de là à être investie corps et âme dans la cause… Non, sans façons. Mais elle n’était pas stupide. Elle était passée du côté sombre de la force, comme auraient dit ses anciens compagnons de la Colonie… et ça, c’était impardonnable pour certains. Tant pis pour eux. Elle, elle préférait ne pas s’arrêter là-dessus, et continuer à vivre comme bon lui semblait. Avoir quitté la Colonie l’avait rendue libre. C’était tout ce qui comptait.
+ + + On ne pouvait pas dire que la petite Nova-Jude était née dans un environnement mauvais pour son développement, bien au contraire, mais impossible d’aller dire qu’il en était pour autant sain. En toute vérité, Nova-Jude grandit en pensant qu’elle était une princesse, puisque ses parents la traitaient comme telle. D’une famille aisée, une belle maison au sein de Chicago, et fille unique par-dessus le marché, d’autant plus que sa mère était très jeune lorsqu’elle l’eut… Tout était effectivement réuni pour que ses géniteurs ne comprennent pas la limite entre éducation et gâterie. Enfin, Nova allait avec ça, ça lui plaisait d’obtenir tout ce qu’elle voulait, il lui suffisait de demander et, au cas où ses parents tentaient de ne pas fléchir, de piquer un caprice. Bref, Nova était une enfant pourrie gâtée, et elle ne tarda pas à se sentir puissante, du haut de ses quelques années. Ce petit côté de sa personnalité fut finalement très difficile à gérer pour ses jeunes parents, puisqu’on diagnostiqua très tôt chez la fillette ce qu’on appelle communément un TDAH, autrement dit un trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité. Pour ne rien arranger, on s’aperçut également qu’elle souffrait de dyslexie. Nova-Jude fut donc placée dans une école spéciale, où elle se rendit compte qu’elle n’était pas si unique que cela, puisque tous ses camarades étaient également des « gosses de riches », et des enfants à problème. Avec son hyperactivité et sa dyslexie, elle était loin d’être aussi féroce que certains de ces gosses, atteints par exemple de colère exacerbée, ou d’autres troubles plus « violents ». Ce passage à l’école primaire permit à Nova de trouver non pas ses repères mais de se « calmer ». Maintenant, elle ne voulait plus être une princesse, mais un oiseau, libre, insouciant, qui faisait ce qu’il voulait… Elle voulait vivre, sans se soucier du lendemain, vivre sans complications, de sorte à ce que la photo, même prise au dépourvu, soit toujours belle. Elle n’avait jamais été très sombre, la petite, sans pour autant voir toujours la vie en rose. Mais, pour elle, on ne vivait qu’une fois, elle ne voulait pas gâcher cette unique vie à commettre des erreurs et à regretter amèrement ensuite. Nombreux furent ses amis, au moment de l’adolescence, à lui reprocher qu’elle prenait trop les choses à la légère, ou qu’elle n’éprouvait pas assez de culpabilité – ce qui était faux, mais elle ne s’attardait généralement pas trop sur ce sentiment, d’où l’image que ses proches avaient d’elle… Ses professeurs la considérèrent comme la tête toujours aux alouettes, et surtout comme une élève je-m’en-foutiste, qui ne fichait rien ; elle se défendit en disant qu’elle ne souhaitait pas faire de longues études, qu’elle voulait juste voyager, découvrir le monde, les peuples et leurs différentes cultures. On la traita de rêveuse ; elle prit ça pour un compliment. Elle était loin de se douter que ce serait bien plus difficile que cela.
+ + + « Je suis une sang-mêlé. Je suis la fille d’un dieu » écrivit-elle tout en prononçant chaque mot à voix haute, concentrée. Allongée sur son lit, appuyée sur ses coudes, Nova retraçait ses derniers mois comme si sa vie était un roman, bien qu’elle n’avait pas de talent particulier pour l’écriture ou juste pour raconter des histoires. Elle, elle préférait jouer la comédie, enfiler des rôles, faire tourner les garçons pleins d’hormones en bourrique, et vagabonder ci et là dans la Colonie. Oui, parce qu’elle se trouvait dans une Colonie ! Elle n’y allait que pour les vacances, cela dit, préférant son petit luxe chez elle, à Chicago… Mais c’était qu’elle n’avait pas particulièrement le choix. C’était il y a moins d’un an. Elle s’en souvenait vaguement puisque, maladroite, elle avait trébuché sur son propre pied et s’était cogné la tête à un meuble lorsque l’un de ses camarades de classe lui avait annoncé qu’il était un satyre et qu’elle était une demi-déesse. OUI, une demi-déesse ! Genre, elle avait du sang divin ! Puis, elle se souvenait de l’hôpital, et ensuite seulement lorsqu’elle avait récupéré de sa commotion, elle avait donc rejoint la fameuse « Colonie des Sang-mêlé », sur Long Island, à New-York. C’était un camp où d’autres enfants des dieux se retrouvaient pour… jouer au Capture l’Etendard, se battre avec des épées, monter à dos de pégase et se faire traiter comme des moins que rien par le directeur, Monsieur D. Monsieur D., ou Dionysos. Nova l’avait appris à ses dépens il y a peu de temps, puisqu’il s’avéra qu’elle était sa fille. Passée l’excitation d’enfin savoir qui était son parent divin, elle avait déchanté en songeant que ce bonhomme n’était même pas fichu de retenir son nom, et qu’il n’était qu’un gros lourdaud… Pas étonnant pour le dieu du vin, à y réfléchir. Du vin, mais également du théâtre, de la fête et… de l’ectasie. Carrément. Ça, Nova avait trouvé cool, du haut de ses quinze ans. Les excès, les fêtes et la comédie, c’était son truc – bien qu’elle n’ait pas encore essayé le premier, puisqu’elle s’était contentée d’alcool, et que grâce à son cher papounet, elle avait une descente bien meilleure que ceux qui la défiaient. Autre bon point d’être fille de Monsieur D., n’est-ce pas ? Cela n’empêchait pas qu’elle ne se sentait pas chez elle ici. Se faire humilier et ratatiner par les gosses d’Arès en duel, c’était très peu pour elle, et se faire traiter de quiche stupide par les enfants d’Athéna, hé bien, pareil, ce n’était pas trop son trip. La fratrie d’Aphrodite était bien plus sympathique, et elle aimait particulièrement discuter des trucs de filles avec elles. Puis il y avait les Hermès, qu’elle appréciait aussi, et avec qui elle avait passé de longs mois en colocation, toujours prêts à s’amuser, à rire et à faire des blagues parfois pas cool – mais c’était là le fun ! Les autres, ça dépendait. A côté de cela, la vie quotidienne à la colo n’était pas des préférées de Nova… Elle savait qu’elle n’était pas particulièrement douée pour se battre, et se retrouver devant un monstre la faisait flipper d’avance – littéralement. Non, tout ça, ce n’était pas pour elle, ce n’était pas une vie… ou, dans son cas, des vacances. Mais même si elle ne s’y plaisait pas forcément, l’adolescente tentait de faire ce qu’elle aimait, comme se promener, parler aux gens, etc. le tout en souriant. Toujours souriante. Ou presque.
+ + + Non, elle n’avait jamais trop réfléchi, Nova. Alors, malgré ce qui s’était passé avec Cronos et blablabla, lorsqu’un de ses potes parla de ceux qu’on appelait les partisans, pour Gaïa, pour Tartare, on s’en fichait un peu au final, elle le suivit. Bêtement. Impulsive. Sans se soucier des conséquences. Mais elle était majeure, maintenant, et elle n’était plus obligée d’aller à cette colonie comme sa mère lui ordonnait. Majeure, avec son propre appartement, sa propre moto, sa propre vie. Elle n’avait pas pensé qu’être partisane changerait sa vie… Non, sérieusement, elle n’aurait jamais imaginé qu’elle ne se serait jamais sentie aussi libre que maintenant ! Nova était une femme-enfant. D’un côté insouciante et légère et, d’un autre… hé bien, elle était une femme. Une femme avec des atouts non négligeables, et dont elle était consciente surtout. C’était si facile de donner un sourire, de battre des cils, pour faire faiblir la gente masculine… Alors, Nova-Jude trouva ses petits boulots de prédilection dans des bars, des soirées mondaines, où il lui suffisait de séduire afin de rapprocher Monsieur et de lui piquer son portefeuille – parce que quitter papa et maman, ça n’a pas que du bon, et puis elle aimait bien se trouver son propre blé. Et cette façon était si simple et lui procurait comme une impression de puissance. Au sein des partisans, c’était déjà ça de gagné, puisqu’elle fuyait le combat – elle n’irait pas très loin avec son fouet et son spray au poivre ; à la limite elle pouvait les rendre confus comme dans Pokémon, grâce à son pouvoir, mais elle ne contrôlait même pas ce don… Bref, c’était la mierda, autant se rattraper dans les mecs et dans les excès. Parce qu’elle finissait bourrée bien moins rapidement, elle pouvait rafler les mises au poker ou à d’autres jeux induisant de l’alcool. Et si jamais ça ne suffisait pas, elle n’avait qu’à proposer de finir la soirée au pieu et de s’enfuir au petit matin avec l’argent. Dit comme ça, ça faisait un peu pute, mais bon, tant pis, tant qu’elle se faisait de la monnaie et qu’elle s’éclatait, rien d’autre ne comptait. C’était son mot d’ordre après tout, le bonheur. Ne pas faire attention aux soucis, ne pas se caser, ne pas regretter, se tromper, recommencer, espérer… S’éclater. Vivre. Toujours. Parce qu’elle n’était pas qu’une étoile, elle était une explosion. | |
Ton prénom ou surnom • radioactive.bones, mais Elodie, ça marche aussi hein. Ton âge • bientôt dix-huit ans, bitches ! Que penses-tu du forum ? • j’pense pas moi. (mais j’aime.) T'es arrivé là comment ? • en suivant les kinders. Code règlement • j’ai pas trop compris parce que je suis un peu débile mais… Nouvelles Joies Sans Hypocrisie. Un dernier mot Jean-Pierre ? • CODES BY RAINBOWSMILE
Dernière édition par Nova-Jude S. Hawkins le Jeu 28 Aoû - 23:20, édité 2 fois |
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