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 Oui monsieur, tout de suite monsieur ? Et mon poings tu l'as vu. Lily-Rose

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MessageSujet: Oui monsieur, tout de suite monsieur ? Et mon poings tu l'as vu. Lily-Rose   Oui monsieur, tout de suite monsieur ? Et mon poings tu l'as vu. Lily-Rose EmptyJeu 21 Aoû - 20:43


Lily-Rose Steele
« Et leurs voix chantent en moi: tu es née pour cette vie.  »


NomSteele Prénom(s) Lily-Rose SurnomsLily tout simplement, après il y a toujours les petits rigolos qui mettent Rose, que ferait on sans vous ? Date de naissance 7 Janvier Âge18 ans Lieu de naissanceParis OrigineFrançaise Années passé dans votre camp5 mois, j'ai eu quelques soucis pour venir, c'est pas la porte à côté votre campement. Statut social •  Soumise Célibataire, enfin presque Orientation sexuelle •  Une seule nuance, le gris AvatarBrittany Robertson Créditpeace-love-gifs.tumblr.com

ÉlémentDivergent (quoi mais qu'est ce qu'elle raconte encore) Parent divinAphrodite, mais quelle quiche, pourquoi on ne choisit pas nos parents ? Pouvoir (un seul)Chanson d'Homère. Mais bon sang de bois que c'est compliqué ce don, les gens ils me regardaient trop bizarrement, j'ai toujours cru que j'avais trois yeux, ou un trop gros nez. Mais en fait pas du tout ! Arme et objet magique (une arme et un objet ou deux armes)Est ce que se battre est vraiment la solution ? Oui, ok j'ai un pistolet, je sais très bien tiré, ah les pères qui font l'armée... Un objet magique; Je veux le spray au poivre moi aussi/SBAFF/ Une carte à la Poudlard qui indique l'emplacement des monstres (quoi ? J'évite les ennuis je vois pas où est le mal ^^) Camp choisiGrey EUH Grec ! Rêve d'avenirAvoir un petit pois Gagner cette bataille et retourner en France.
..IL ETAIT UNE FOIS..
..UNE VIE BIEN NUANCEE.
.

L’horizon à perte de vue, l’océan qui fait tanguer doucement le bateau entamant alors une discussion qu’eux seuls comprennent. Un cadre magnifique et pourtant, rien n’était important sur ce voyage, je voulais juste retrouver la terre ferme, sentir le sol sous mes pieds et ne plus avoir ce mal atroce qui me broyait les entrailles. Mais qui a décidé de ma vie ? Qu’est-ce que je fous ici, je vais mourir comme une idiote ! Comment j’ai pu arriver là, ho c’est facile écoutez donc.


Je suis née un 07 Janvier dans le centre de Paris, enfin c’est ce que dise les papiers, à présent ça me fait doucement rire. Comme si une déesse s’était dit un jour : « Tiens je vais accoucher chez les mortels » Quand on est jeune, on accepte tout. Mon père a été appelé par la maternité en disant que sa femme venait de périr en enfantant. Alors mon père s’était tourné vers son épouse juste à côté de lui sans vraiment comprendre. Par curiosité ou incompréhension, ils sont allés à l’hôpital, qui balancerait une petite blague comme ça sur un enfant. C’est en me voyant dans le petit linge gris perle que mon père a su d’où venait ce bidule. J’adore qu’on parle de moi comme d’une chose, c’est dingue ça. Je trouve ça profondément injuste de ne pas avoir été présenté par Rafiki au peuple. D’accord je ne gouvernerais jamais leur monde, et je ne suis pas la fille de Mufasa mais tout de même, mince à la fin ma mère est quelqu’un d’important, je me devais d’être présenté au monde. Pas dans une chambre d’hôpital à un couple de jeune habillés de couleur si terne. Comme si un gris peut être nuancé, n’importe quoi, le gris c’est gris sombre ou clair, il reste gris. Mon père m’observa attentivement, tandis que sa compagne arriva visiblement à la même conclusion que lui. Le coup parti tout seul, bim et un coup dans la tête du père de famille. Ah l’infidélité ne paie monsieur les hommes, faîtes-nous confiance, on sait toujours ce qui se passe dans vos têtes. Si j’avais été en mesure de comprendre ce qui se passait, j’aurais levé les yeux au ciel comme pour les réprimander. Néanmoins, après une violente dispute devant l’infirmière qui devait être super mal à l’aise. La décision finale fut la suivante, j’allais venir vivre avec eux. Je devais vraiment être un beau bébé, parce que j’avoue que si mon copain me fait le même coup, je le noie.  Ma nouvelle mère, la seule à mes yeux, exigea de savoir ce qui était arrivé. Mon père est un membre de l’armée de terre, il est souvent en voyage et il ne semblait pas vraiment fier d’expliquer qu’il avait craqué quelques fois. Là encore, toujours en aparté vu qu’un bébé ne pouvait pas comprendre, je crois que je lui aurais fracassé le nez sur le volant. Sincèrement ma mère est un modèle de patience et de pardon, chose que j’ai du mal à comprendre, j’aurais adoré avoir ce trait de caractère, je déteste qu’on se joue de moi et je le ferais comprendre à tout le monde.

Nous habitions dans une cité à Paris, bien sûr ils avaient l’argent pour acheter une maison un peu plus loin, cependant ma mère ne voulait pas changer ses habitudes, surtout que son époux partait souvent, elle se voyait mal élever un enfant, qui n’était même pas le sien, dans une grande maison. Mon père sentant bien que son couple périssait sans qu’il puisse faire quelque chose, accepta toutes les conditions de ma mère. Ainsi je devins officiellement sa fille, aux yeux de tous c’est elle qui a accouché, ayant caché sa grossesse, elle choisit aussi mon prénom. Elle doit être la seule à m’appeler Lily-Rose, pour tout le reste du monde c’est Lily, il faut dire que ça fait moins petite chose fragile. Bon après j’aime bien maman, j’ai toujours mentit en disant que j’adorais mon prénom et que j’adorais qu’elle m’appelle ainsi. Même si à chaque fois je levais les yeux, me retenant de lui rappeler que je n’avais plus cinq ans.

Nous nous éloignons de notre histoire. Le premier souvenir que j’ai de moi, c’est d’un carnaval, je devais avoir trois ans, j’étais habillée toute de bleue, j’avais un magnifique masque argentée. La photo trône encore sur le buffet couleur taupe du salon. Ma mère n’a pas loupée la photo, ne  vous méprenez pas, c’est extrêmement rare, elle essaie toujours de me faire un coucou, sauf qu’elle agite l’appareil et ça plante forcément. J’ai toujours eu plus de bons moments avec maman. Déjà elle était toujours là, je sais bien que mon père est un militaire, qu’il adore être sur le terrain mais j’avais l’impression qu’on ne comptait pas pour lui. Ma mère semblait être constamment sur la défensive quand je lui demandais avec l’innocence d’une enfant « Papa il dort où quand il n’est pas à la maison ? » En même temps, je n’y peux rien si je ne suis pas au courant de toute l’histoire. Tu me diras expliquer à sa fille que Papa a trompé maman, c’est peut-être pas une bonne chose. Surtout que mon papa c’était un peu mon héros, Mon mufasa, capable de rugir quand il faut protéger sa fille qui se met dans des situations pas possible. Un de mes principal défaut est d’avoir voulu un frère ou même une sœur, plus un frère, je n’étais pas garçon manqué, peut-être un peu, moi j’aimais les jeux guerriers, un bâton me servait d’arme à feu. Oui j’ai beaucoup d’imagination. J’ai dû demander vingt fois « Quand est ce que je vais avoir un petit frère ? » Ma mère, au début me disait qu’ils ne voulaient pas d’enfants, que je serais la seule, et à la fin elle soupirait juste.

Ne croyez pas que j’étais plus proche de ma mère que de mon père, lorsque venait le jour de sa permission, je l’attendais avec impatience dans ma chambre. Dès que la porte d’entrée s’ouvrait, je comptais jusqu’à 20 afin de leur laisser leur intimité de couple, bien élevée n’est-ce pas ? Puis je fonçais sur lui jusqu’à ce qu’il me fasse sauter dans les airs, ce qui provoquait en moi de grandes crises de joie.
Et puis j’ai grandi, je me suis aperçu tout de suite que j’avais un petit truc étrange. Les gens semblaient conquis lorsque je parlais, mais vraiment. J’avais cette sensation depuis toujours, mais en grandissant j’ai décidé de voir si c’était vrai. J’avais volontairement pas appris la fable de la fontaine du loup et l’agneau. Déjà parce que je trouve ce loup vicieux, c’est quoi cette excuse de merde « Si ce n’est toi c’est donc ton frère » Mec on est responsable de nos actes, pas de ceux des autres ! Oh et la morale « La raison du plus fort est toujours la meilleure. » Sous prétexte qu’on est bon, on peut tout se permettre, mais bien sûr et la marmotte elle met le chocolat… dans le papier d’alu. C’est pour ces raisons officiellement que j’avais refusé de l’apprendre, sauf que voilà, comme note j’ai eu 15 pour effort conséquent, ouai bien sûr dire  « Je ne la connais, je ne veux pas la connaître et je ne l’apprendrais jamais, la morale me déplait. » C’est un effort conséquent. J’en ai parlé avec mes parents le soir même, mon père est devenu pâle, jamais je n’avais vu ça. Il connaissait la guerre, les morts, mais une toute petite phrase le rendait comme ça. Ils m’ont demandé de sortir de table, sérieusement, je ne comprenais pas, bon d’accord ce n’était pas bien de ne pas apprendre… mais de là être privé de repas.

Ils se disputèrent pendant des heures, c’était rare venant d’eux. Je tenais ma peluche Simba dans mes bras, caressant le sommet de sa tête pour me calmer [je vous offrirais une photo de mon Simbanounet promis].  Dès le lendemain ma vie, non nos vies à tous les trois changèrent du tout au tout. Tout d’abord mon père se mit en tête qu’il fallait que j’apprenne à me servir d’une arme.  J’avais quoi dix ans ? Moi mes armes c’était les bouts de bois, pas vraiment un pistolet dont j’ignore la marque. Il m’entraîna dans un grand champ. La première fois que je tirai, j’eus un mouvement de recul et je lâchai l’arme, on oublie de dire que votre bras entier est pris de frisson, aussitôt les larmes montèrent tandis que je m’écartai de cette arme de malheur. Mal m’en pris, l’ordre percuta mes oreilles « Reprends là Lily c’est important ! » Important pour qui, pour quoi ? Je ne voulais pas, je lui lançais un regard agacé avant d’obéir. Oui ça me gavait d’être là plutôt que de jouer avec mes amis, je n’aimais pas le fait qu’il soit militaire, je détestais la simple idée de faire du mal aux bêtes et on me collait une arme dans les mains. Leçon humiliante, défaite cuisante. Chacun de ses entraînements était un échec, j’avais fini en pleur la main pleine de fourmillements pour l’arme, les moyens de défenses, j’avais le nez dans la terre, les joues égratignées, je pleurais sans pouvoir m’arrêter. Mais qu’il me lâche la grappe un peu, finalement, il m’attrapa dans ses bras et me fit un bisou, alors le vieux plan foireux, genre un bisou et je suis sensée oublier ? Quel imbécile, et pourtant j’étais bien dans ses bras, ah les sentiments… Lorsque nous rentrions, j’avais préméditée ma vengeance, dans ma tête ça se passerait ainsi « Maman, Papa il m’a fait tirer avec une arme ! » « QUOI MAIS T’ES MALADE » Et bla bla bla. Ouai bah des fois il ne vaut mieux pas s’imaginer ce genre de chose. Quand je commençais ma phrase, elle répliqua je cite « C’est pour ton bien Lily-Rose, cesse de faire l’enfant » J’ai loupé un chapitre de l’histoire ou quoi. Non mais c’est vrai que tout le monde apprend à ses enfants à tirer, que c’est faire l’enfant que d’avoir des traces sur le visage…

Pourquoi les enfants veulent faire plaisir à leurs parents, je n’en sais rien mais petit à petit j’assimilais les mouvements de défenses, même si dès que je disais « Je suis prête Papa ! Vas y à fond » Je finissais le nez dans la gadoue. Pas endurante pour un sou, je faisais éclater de rire ma mère quand je rentrais les cheveux en pétard, des cernes sous les yeux, et que je filais au lit directement sans passer par la case miam. Il y avait un truc qui me chiffonnait sans que je puisse vraiment le comprendre, par moment que je m’entraînais avec Papa, maman arrivait en trombe avec une carte, ils se regardaient, communiquant par un simple regard et aussitôt on partait comme si notre vie en dépendait. Je les prenais sincèrement pour des fous, surtout qu’ils me taisaient quand même une bonne partie de la vérité, Papa revint un jour à la maison en annonçant qu’il avait quitté l’armée. Et le pire dans l’histoire c’est que ma mère semblait soulagée. Je n’étais pas vraiment une fille difficile à vivre, bon ok j’avais envie d’avoir un chaton et je pouvais être têtue, mais de là arrêter son boulot.

Alors que tous les demi-dieux sont normalement reconnus comme tel vers leurs 15 ans, grand maximum, ou tout du moins qu’ils se doutent qu’il y a un problème. Rien de mon côté, le calme plat. Pendant qu’ils s’éclataient avec leur toison d’or, le labyrinthe et leur pote Cronos, je me la coulais douce en France, parlant à la perfection le grec ce qui sidérait mes profs, surtout qu’en langue… excepté l’anglais que j’adorais, l’espagnol on m’oublie. Mais ici ça devenait bizarre aussi. Déjà à tour de rôle, mes parents avaient la tête penché sur une carte bizarre qui clignotait. Lorsque ma curiosité m’empêchait d’être bien élevée, je venais poser des questions, sans jamais avoir de réponse. Pourtant, je voulais savoir, je devais savoir, comprendre pourquoi ils me réveillaient la nuit, pourquoi on s’éloignait des jours entiers. Surtout que dire à mon copain et ma meilleure amie. Certes je me faisais des amis en temps record mais même sans ça. J’étais perdu aux portes d’un monde qui se refusait à moi !

Un soir que j’étais allée au cinéma avec mon petit ami et ma meilleure amie, ah oui parce qu’en plus ma mère était une stressée quand il s’agit des garçons. Ils étaient venus me chercher en pleine séance. Les parents complètement paranos quoi, comme si j’allais coucher avec un garçon en plein ciné ! J’avais essayé de résister à l’humiliation suprême du père qui te tire dans le ciné, surtout quand le père t’appelle Bébé devant ton copain. C’est un truc qu’il ne faut pas faire, vraiment, je vous promets mes enfants, je vous choisirais un prénom classe, pas à rallonge et je n’utiliserais pas de surnom de merde ! On roula des heures sur l’autoroute, j’étais mortifiée qu’ils puissent m’éloigner de mon grand amour (ah la jeunesse). Finalement, nous sommes descendus sur Bordeaux, tout ça en une nuit. Ils étaient motivés pour m’éloigner de ma vie. Dans le petit hôtel, où ils durent me tirer de force vu que je faisais acte de résistance. Ils m’apprirent la vérité, toute la vérité. J’avais l’impression d’être arrêté par deux flics, j’étais assise dans une pièce aux murs verts dégueulasse, sans être pro de la déco, le vert et le orange, ce n’est pas à marier. Bref j’étais préoccupée à l’idée de dormir ici. Ils se tenaient en face de moi, les mains sur la table comme si c’était hyper dur à avouer. Soyons sincère un moment, ça ne devait pas être simple, je les fusillais du regard, sans rien dire au risque de me prendre une baffe. On ne sait jamais, une main part un peu trop vite parfois. Finalement mon père se lança, il avait trompé ma mère il y a de cela 15 ans. Entre nous, je n’avais pas du tout envie de savoir le pourquoi du comment, je m’en fichais complètement. J’ouvrais la bouche pour dire que ça ne m’intéressait absolument pas. Le regard que je reçus avant même que le premier son sorte de ma bouche, me calma sur le champ. J’observais les fleurs orange sur les murs tout en écoutant distraitement. Ainsi il avait trompé ma mère dans le cadre de ses fonctions, il s’était retrouvé sur le sol Américain seul, il avait craqué. Excuse tellement simple à fournir, je jetais un regard à ma mère qui ne semblait pas spécialement meurtri par l’aveu. Elle était donc au courant, comment peut-on rester avec quelqu’un qui nous a trompé une fois, j’avais du mal à saisir. La suite me choqua bien plus à vrai dire, mon monde s’écroula avec cette histoire, mais pire encore je n’étais pas qui je pensais être, mon identité se faisait la malle sans que je comprenne ce qu’il se passait. J’étais donc la fille de cette inconnue qui par ruse avait réussi à me déposer à Paris, faire prévenir mon père et me faire adopter, comme ça normal. A cet instant-là, je reculais brutalement ma chaise et me levai, en fait je préférais ne pas savoir. J’étais très bien avant cela, j’avais une vie de rêve. Mais vous savez quoi le défaut de l’humanité de se connaître, je l’ai aussi. Après avoir soufflé quelques instants sous leurs regards compréhensifs, même s’ils ne pouvaient pas comprendre ce que je vivais. Je finis par m’adosser au mur voulant entendre la suite, ma mère prit le relais me racontant qu’elle m’avait élevé comme sa fille, ce à quoi j’aurais très bien pu répondre et moi je t’ai laissé jouer le rôle de la mère, ça me fait un point aussi ! Encore une fois, vous marqué un point, mademoiselle Steele. Elle m’expliqua que mon père avait été confronté à certains phénomènes étrange en Amérique, c’est pourquoi il y retourna souvent pour comprendre. Je ne voyais pas trop le rapport avec moi, je ne suis pas un phénomène étrange. Evitant de la ramener, j’écoutais silencieuse, les bras croisées sur ma poitrine pour me donner une contenance.  Ils partaient loin, vraiment très loin, s’inventant une histoire de dieux grecs, de monstre tirés de la mythologie et le fait que j’étais certainement, voir sûrement une demi-déesse. Complètement tiré par les cheveux. J’essayais  de les croire, vraiment, hein même si je me demandais bien comment personne dans leur entourage n’avait pu capter leurs folies, je leur laissais le bénéfice du doute. Surtout lorsqu’ils m’expliquèrent l’histoire de la carte. Mon père m’expliqua qu’il l’avait trouvé par le plus grand des hasards et qu’il avait suivi le petit point rouge clignotant. Je sais pas vous mais moi je vois un truc rouge qui clignote sur une carte, je n’y vais pas, un peu de jugeote bon sang ! Il était tombé nez avec un gros chien, sérieux un chien. Pour le coup je me mordais la lèvre pour ne pas rire, sauf que la suite me surprit, des soldats habillés en orange, c’est la mode le orange ou quoi ? Vinrent tuer le chien et expliquèrent à mon père que c’était la brume qui le faisait voir des chiens. Dès lors il rentra dans sur Paris et avec ma mère ils décidèrent de passer le reste de leur vie à éviter que les monstres nous trouvent, me trouve.

Il me fallait du temps pour digérer cela, c’est la tête parasitée par le fait que je n’étais plus la fille de ma mère, que si ça se trouve, elle ne m’aimait pas plus que cela, que je me couchai. J’avais conscience malgré moi que c’était vrai. J’avais envie de retourner sur Paris retrouver ma vie d’innocente petite fille, retrouver mon copain, mes amis. Rien de tout cela au programme, à la place mes parents me tendirent la carte dès le matin, un pistolet, mon pistolet d’entraînement. Ainsi ma vie de demi-déesse commença, une vie de fuite. Si seulement je n’avais pas pris cette satanée carte. Mon odeur était partout sur mes parents, les câlins qu’on faisait, le simple fait que je vive avec eux ! Je me souviens que j’étais en cours, observant la carte avec attention voulant désespérément comprendre le mécanisme, cours de math ce n’est pas mon truc faut dire. Je vis très nettement ma maison sur ma carte, un point rouge clignotant dessus. D’un bon je fus hors de la salle sous les vociférations du professeur, pour le coup peu m’importait. Je crois que je n’ai jamais autant couru de toute ma vie, le point rouge avait eu tout le temps de disparaître. Je me glissais chez moi hurlant « PAPA ? MAMAN ? » Un silence de plomb répondit à ma question, je me dirigeais donc pour voir où ils étaient. Je tombais nez à nez avec un satyre, il me regarda comme s’il était content de me voir. Je pointais mon arme à feu sur lui, tout en regardant les corps à ses … sabots. Pour le coup mon doigt appuya tout seul sur la détente. Va tirer sur un monstre mythologique avec des balles d’hommes, inutile. Cela faisait cependant un grand bien, je pris le pouls de mes parents, faible pour ma mère mais présent, en revanche je doutais fort que mon père s’en sorte même si je tremblais trop pour vraiment savoir.

Le satyre m’expliqua qu’il était temps que je parte, que ça ne s’arrêterait jamais de toute façon. Pitié mais qu’il se taise celui-là « Qu’est-ce que tu as fait ? » « C’est un accident, je voulais pas ce qui est arrivé... Qu’est-ce que je peux faire alors ? » « Sauves toi, Pars, pars très loin et ne revient jamais. »
Je le suivais donc la mort dans l’âme, avec mon arme à feu complètement inutile contre les êtres mythologiques, cependant un cadeau de papa hors de question que je le laisse. Ma carte aussi je la gardais. Je ne savais même pas pourquoi je suivais ce cabri, ensemble nous avons traversé l’Océan Atlantique, sur un bateau. J’ai le mal de mer, c’est catastrophique, je crois que mon satyre a passé plus de temps à me soigner que vraiment m’expliquer tout ce qui allait se passer pour nous.

Pour moi, dans ma tête une fois en Amérique je pourrais me tirer, continuant à vivre comme je l’entendais. Une fois sur le quai je m’apprêtais à partir lorsque monsieur Satyre se plaça devant moi. Je pointais mon arme sur lui, même si sincèrement je comptais le massacrer à la main. S’ensuivit alors le discours le plus pénible de toute ma vie. « Tu te soumets ou tu te bats ! » « Pourquoi tant de violence ? C’est horrible d’être responsable de la mort d’un membre de sa famille, tu es d’accord ? » « C’est inutile, je ne me sens plus coupable » «  As-tu si peu de mémoire, Dis moi qui est responsable de la mort de ton père ? » «  C’est moi. » «  Tu vois tu reconnais la vérité ASSASSIN » « C’était un accident. » « Sans toi il serait encore vivant, c’est à cause de toi qu’il est mort, tu oses le nier ? » « Non ! » «  C’est donc toi l’assassin » « Je ne suis pas un meurtrier » « Décidément, tu cherches les ennuies, mais aujourd’hui papa n’est pas là pour te sauver ! Et maintenant, Tout le monde sait pourquoi ! »
S’ensuivit étrangement une lutte, je n’ai pas à être coupable d’un crime que je n’ai pas commis. Comment le satyre en vain à mourir, aucune idée, certainement qu’il se cogna, version officielle, l’officieuse ne vous regarde pas !


C’est donc toute seule, parce que je me rendais compte du problème de survivre seule sans attache, que je me rendis à la colonie des sangs mêlés. Juste à temps pour voir Gaïa prendre le pouvoir, des tensions entre deux camps que je ne comprends pas. Nous n’avons pas à nous battre contre les romains, j’en suis persuadée, je ferais tout ce qui est en mon pouvoir, c’est-à-dire pas grand-chose, afin que les tensions s’apaisent. Cela pose des problèmes quand les romains sont décidément très agressifs. L'avantage c'est que je connais un fil d'Héphaïstos (et vui) qui a pu faire de mon arme inutile, une arme utile contre les monstres.

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Ton prénom ou surnomPau Ton âge 7 ans Que penses-tu du forum ?Ouh qu'il est moche, c'est quoi ce bleu ? Pourquoi il n'y a pas de gris ? T'es arrivé là comment ?En avion ? Pourquoi ? Je suis accusé d'avoir détourné une cargaison ? J'exige mon avocat Code règlementLumière Rouge Sacrégrey Un dernier mot Jean-Pierre ?Vous satisfaire est notre priorité monsieur Grey.
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Dernière édition par Lily-Rose Steele le Ven 22 Aoû - 16:44, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Oui monsieur, tout de suite monsieur ? Et mon poings tu l'as vu. Lily-Rose   Oui monsieur, tout de suite monsieur ? Et mon poings tu l'as vu. Lily-Rose EmptyJeu 21 Aoû - 20:57

Mademoiselle Steele, toujours aussi délicieuse.

J'ai hâte de lire.

A plus, bébé Oui monsieur, tout de suite monsieur ? Et mon poings tu l'as vu. Lily-Rose 376570509
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MessageSujet: Re: Oui monsieur, tout de suite monsieur ? Et mon poings tu l'as vu. Lily-Rose   Oui monsieur, tout de suite monsieur ? Et mon poings tu l'as vu. Lily-Rose EmptyJeu 21 Aoû - 22:39

Mais je ne vis que pour vous satisfaire Monsieur Grey.

Fais toi plaisir, lis donc Very Happy

Merci Wink
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MessageSujet: Re: Oui monsieur, tout de suite monsieur ? Et mon poings tu l'as vu. Lily-Rose   Oui monsieur, tout de suite monsieur ? Et mon poings tu l'as vu. Lily-Rose EmptyVen 22 Aoû - 9:16

Le retour de la délicate Lily-Rose !
Je veux aussi faire le concours des objets ridicules !
Courage pour la suite ! J'ai hâte de voir ce que ça donne, mademoiselle !
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MessageSujet: Re: Oui monsieur, tout de suite monsieur ? Et mon poings tu l'as vu. Lily-Rose   Oui monsieur, tout de suite monsieur ? Et mon poings tu l'as vu. Lily-Rose EmptyVen 22 Aoû - 9:59

Re-Bienvenue Oui monsieur, tout de suite monsieur ? Et mon poings tu l'as vu. Lily-Rose 1528637428

(Cet avatar est bien plus sexy que l'autre Oui monsieur, tout de suite monsieur ? Et mon poings tu l'as vu. Lily-Rose 3219569362 )

Emy pourra te prêter le spray si tu lui prêtes la carte :mdrr: (Parce que les monstres, elle aime que moyennement ça Oui monsieur, tout de suite monsieur ? Et mon poings tu l'as vu. Lily-Rose 3581717548 )
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MessageSujet: Re: Oui monsieur, tout de suite monsieur ? Et mon poings tu l'as vu. Lily-Rose   Oui monsieur, tout de suite monsieur ? Et mon poings tu l'as vu. Lily-Rose EmptyVen 22 Aoû - 10:18

L'avatar il veut surtout dire Mais dans quelle galère je me suis encore embarquée, qu'est ce que je fais ici Very Happy

Oh ouai on va se prêter nos objets. N'empêche une carte c'est galère. T'imagines si tu crois que le point qui clignote c'est un trésor. Allez BIM bouffe toi le monstre dans les dents  

Merci pour votre accueil Oui monsieur, tout de suite monsieur ? Et mon poings tu l'as vu. Lily-Rose 650063851 
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MessageSujet: Re: Oui monsieur, tout de suite monsieur ? Et mon poings tu l'as vu. Lily-Rose   Oui monsieur, tout de suite monsieur ? Et mon poings tu l'as vu. Lily-Rose EmptyDim 24 Aoû - 13:03





Ω Fiche Validée Ω


Félicitation, tu viens d'être validé avec les honneurs du jury. A présent tu peux venir faire la fiesta avec tous le monde.

Avant que je ne fasse quoique ce soit, as-tu bien lu tous les contrats ? //pan// Merci de m'avoir fait le remake de Simba et la mort de Mufasa ! Ta fin d'histoire est très bizarre, par contre. Enfin bon, mademoiselle aime les secrets. Donc, bref bah tu es validé et arrête de tirer sur tout ce qui bouge, sérieux. Wink

Cependant il y a quelques petits détails presque rien à régler, une formalité disons le:
Ici tu pourras réserver ton avatar, et oui ce serait bête qu'on te le pique.
Pour te faire des amis, des ennemis ou tout simplement avoir des liens c'est ici
Là c'est pour faire des rps avec tous pleins de monde
Et ici c'est pour que les admins t'aiment, pour que le forum t'aime et pour avoir pleins de nouveaux amis-ennemis

©️ code de night sky. gif de tumblr.
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