| Sujet: Jan Slange, wind of change. Sam 1 Aoû - 20:55 | |
| Jan Slange « The wind of change » | Hello tout le monde, je me présente je me nomme Jan Slange. Je suis originaire de Straslund et je suis née le 06 décembre 2002. J'ai rejoint les sang-mêlés il y a de cela plus de deux ans pour ces raisons : A la base, c'était surtout pour me protéger après les révélations de ma mère quant à mon statut et à mon père après l'attaque d'un renard de Teumesse. Je suis le descendant de Borée Mon but dans la vie est de devenir le meilleur combattant du camp cependant il y a quelque chose qui me ferait arrêter tout ce que je suis en train de faire c'est le décès de ma mère. Beaucoup de mes amis ont remarqué que j'avais des tics et manies qui sont me ronger les ongles lorsque je suis énervé, me mordre les lèvres lorsque je réfléchis, jouer régulièrement de la guitare et de la batterie avec tout ce que je trouve. Ah oui, réfléchir tout haut aussi et particulièrement aimer le froid. Et voilà, vous en savez bien plus sur moi, on peut donc passer à autre chose. |
Loyal | Râleur | Intelligent | Impatient | Courageux | Provocateur | Travailleur | Perfectionniste |
Puisque je suis dans le camp des demi-dieux (et des dieux même si ce n'est pas le plus important dans notre situation) voilà ce que je pense de l'organisation qui s'est formé et qui a pour but de nous anéantir: Mon sentiment personnel est que la plupart des membres de cette organisation se sont laissés séduire par des mensonges, des idées reçues. L'homme a toujours eu peur de ce qu'il ne connaissait pas ou de ce qu'il ne comprenait pas. Or, il est certain qu'avec nos pouvoirs, nous pouvons représenter une véritable danger. J'en suis conscient. Mais je sais aussi que dans notre très grande majorité, nous souhaitons vivre avec les Hommes. Ceci étant dit, je n'hésiterais pas à anéantir quiconque m'attaquera, moi ou notre camp. Pour ce qui est des traitres, eux, ils sont déjà morts. Pouvoir ψ Blizzard. Arme ψ La hache. Objet magique ψ Une chevalière anesthésiante. Il s'agit d'une bague pour homme qui envoie du froid vers mes douleurs ou mes blessures afin d'avoir un effet antalgique, anesthésiant. Néanmoins, si cela calme mes douleurs et peut aider à la guérison, elle n'a pas le pouvoir de guérir à proprement parler... Compétence ψ Physique : Maitrise d'arme CaC (2) Intelligence : Survie basique, Connaissance du terrain Charisme : Grec, Eloquence basique Agilité : Esquive, Pistage. Maintenant que vous connaissez bien mon personnage, c'est à mon tour de me présenter. Mon pseudo ou mon prénom est Yoyo. Je suis âgé de 30 ans et ça fait un bon moment que je suis sur des forums RPG. J'ai découvert Heroes of Honor de la façon suivante C'est miss Absynthe qui m'en a parlé et la raison pour laquelle je me suis inscrit est qu'elle m'a motivé et que j'ai flashé sur le design. En lisant le règlement, je suis tombé sur ce code Javelot Sabre. J'ai choisi cette célébrité pour représenter mon personnage Ed Westwick et le crédit des gifs et images que j'ai utilisé pour ma fiche de présentation sont [Crédits]. Puisque j'aime bien parler je vais rajouter que [choses à rajouter si envies] | Caractère bien plus détaillé du personnage: Mon caractère ? Comment dire ? J'ai un très bon caractère ! Non, bon, on ne va pas se mentir... J'ai un sacré caractère. Disons que je suis quelqu'un de foncièrement gentil. La méchanceté gratuite, je trouve selon totalement idiot et non constructif. Moi, les gens que je n'aime pas, je les ignore. Ca évite de s'énerver. Par contre, attention, j'ai dit gentil, je n'ai pas dit idiot. Je suis loin d'être aveugle. Je suis très conscient de ce que sont capables les gens et je suis particulièrement méfiant. Je me méfie tellement du monde qu'aux premiers abords, je peux paraître particulièrement froid, distant. Mais une fois que l'on arrive à s'approcher de moi, à briser cette carapace que je me suis construite afin de me protéger, je peux être adorable avec les gens auxquels je tiens. Les personnes que j'aime vraiment, je suis même capable, dans la mesure du raisonnable, de leur pardonner pas mal d'erreurs. Par contre, si vous tentez de faire du mal à ceux que j'aime, je ferai de votre vie en Enfer. Je n'ai pas que des bons côtés. Je suis assez râleur, je ne suis pas très patient. J'ai aussi une répartie qui fonctionne mieux que les coups et j'aime m'en servir lorsque l'on s'attaque à moi. Mais bon, mettre quelques bons coups à certains ne me gênent ou ne me gênerait pas. Que dire d'autre ? Ah oui... l'Amour. Disons que je n'ai pas encore trouvé la femme de ma vie. Bien sûr, j'ai eu quelques coups de coeur, notamment une jeune femme avec laquelle j'ai vécut près d'un an à San Francisco, mais le destin a voulu que nous nous quittions, en bon terme néanmoins, moi partant pour New York et elle trouvant un poste dans la robotique au Japon. |
Il était une foisAh ! Ben vous voilà... Alors comme ça, vous souhaitez découvrir mon histoire ? Je vous préviens de suite que ce que vous allez lire va semblait n'être que pure invention. A près tout, pensez ce que vous voulez. Ce que pensent les gens de moi, sincèrement, c'est bien le dernier de mes soucis.
Donc, le début de mon existence est plutôt normale, voir, carrément ennuyeuse. Je suis donc né un 06 décembre, il y a un peu plus de 22 ans maintenant, dans une petite ville au nord-est de l'Allemagne, par une très froide soirée d'hiver. La neige est tombée en abondance durant toute la journée et un froid glacial soufflait sur toute la région le jour où je décidais de pointer le bout de mon nez. Un présage de ce qui allait suivre. Durant les quatre premières années de ma vie, rien d'extraordinaire ne vint mettre du piment dans ma vie. Jusqu'à mes deux ans et demi, je restais avec ma mère ou avec mes grands parents maternels, maman étant obligée de travailler dans une société de maintenance des locaux. Bref, vous l'aurez compris, elle était femme de ménage ou technicienne de surface (tellement plus chic n'est-ce pas ?). Oh, ne pensez pas que j'en ai voulu à ma mère d'être en bas de l'échelle au niveau professionnel, non, non... Il n'y a pas de sots métiers et surtout, elle au moins, elle se bougeait pour moi. Et puis, il fallait voir ce qu'elle endurait avec ce gros porc de patron qui tentait de la draguer constamment. Mais le fait qu'elle refuse ses avances ne l'aidait pas à progresser dans son travail, alors que, tout à fait entre nous, elle aurait pu facilement lui prendre son poste à ce bouffon. Bref, je passais donc ma petite enfance sur les bords de la Baltique, à Stralsund, et j'entrais, pour mes trois ans au Kindergarten. Jusqu'alors, je suis d'accord avec vous, il n'y a rien de bien extraordinaire. Mais attendez, ce n'est pas fini.
L'année suivante, et sans que je ne comprenne pourquoi à l'époque, maman décida de tout quitter afin d'aller habiter au Canada. J'eus beaucoup de peine à quitter mes copains, mais bon, un enfant se refait vite des amis... Non, ce qui me déstabilisa le plus fut le fait de devoir abandonner Opa et Oma, mon grand-père et ma grand-mère, des personnes que j'adorais. Et du haut de mes quatre ans, je m'entends encore demander à maman...
Mais pourquoi qu'on s'en va trop loin ?
Et ma mère de me répondre que c'était pour le travail... Sauf que je n'étais pas dupe malgré mon jeune âge et je remarquais vite que pendant plusieurs mois, ma mère n'allait pas au travail. Mon intégration dans ce nouveau pays fut d'ailleurs assez complexe, ne parlant pas anglais. Je devins assez insupportable avec ma mère, lui demandant sans cesse de repartir en Allemagne, lui expliquant même que je préférais rester avec Opa et aller à la pêche plutôt que de rester ici avec des enfants qui parlent « drôle et qu'on comprend rien ». Bref, je me rendis compte bien vite que maman était très affectée par cette situation, et je décidais donc de mettre ma colère de côté. Finalement, j'appris l'anglais et je m'adaptais doucement à ce pays qui n'était pas si mal. Maman fit la connaissance d'un homme deux ans plus tard, un homme plutôt aisé qui semblait bien m'aimer. Ainsi, j'appris le ski, je fis du chien de traineau, de la moto-neige et plein d'autres activité du Grand Nord. Mais c'est aussi durant cette période que je commençais à me poser quelques questions en ce qui concernait mon père. Jusque là, il fallait bien avouer que le fait de ne pas avoir de père n'avait pas vraiment été un problème. Ne l'ayant jamais connu, il ne pouvait me manquer, mais la présence de ce beau-père me fit me poser des questions. Mais je n'osais pas en parler à ma mère et je préférais croire qu'il était peut-être mort ou simplement parti et que maman ne voulait pas en parler parce que cela la rendait triste. Mais ces questions sans réponses commençaient à me peser. Et cela semblait se ressentir aussi dans mon parcours scolaire. Malgré un bon niveau général, surtout en Histoire, j'avais beaucoup de mal avec la lecture et cela m'agaçait. D'après le médecin scolaire j'étais atteint de dyslexie. Bon, ben il fallait faire avec mais cela ne m'aidait franchement pas. Les années passèrent et je restais avec mes questions. Mon niveau scolaire pâtissait de mes troubles dyslexiques. Etrangement, une fois au collège, maman m'expliqua que le grec était une belle langue, qui m'aiderait sûrement à remonter ma moyenne. Je n'en voyais pas l'intérêt et pour moi, cela ne me faisait qu'avoir des heures de cours en plus alors que je préférais de loin avoir mon temps libre pour aller surfer sur les pentes enneigées et faire de la randonnée avec mes amis. Cependant, je pris tout de même cette option afin de lui faire plaisir et à mon plus grand étonnement, j'éprouvais bien des facilités avec cette nouvelle matière. Mieux, ma dyslexie semblait disparaître durant ce cours. Et puis, je devais bien avouer que cela était très intéressant. Tout ces Divinités, les Héros, même les Monstres étaient intéressants ! Je continuais donc le grec durant mon parcours scolaire et à la fin de ce que vous appèleriez le lycée, je décidais d'intégrer une université américaine, à San Francisco, sur les conseils de mon beau-père. En plus, il fallait avouer que cela me permettrait de prendre mon indépendance. Au bout de deux ans, je quittais la Californie pour New York, mais le jour de mon départ, ma vie prit un tournant des plus surprenant... Maman était venue afin de m'aider dans mes préparatifs de départ lorsque durant la nuit précédant mon voyage, un truc très étrange se déroula. Je fus réveillé en sursaut par un bruit, genre un aboiement ou quelque chose du genre. Je vis bientôt ma mère se précipitais dans ma chambre et plus vite que son ombre, elle balança quelques affaires dans une grande valise. Le bruit se faisait toujours entendre et il était même de plus en plus fort. Je ne comprenais pas grand chose. Ma mère me hurlait dessus, me demandant de me hâter. J'enfilais un jean et un tee-shirt tandis que je la vis sortir de mon appartement en direction de sa voiture, un pick-up noir. Elle balança ma valise à l'intérieur et rentra dans l'appartement, me tirant par le bras...
Mais quoi ? Qu'est-ce qui se passe ? Et c'est quoi ce bruit ?
Ma mère, tout en me tirant vers l'extérieur, m'expliqua toute l'histoire, mon père, notre départ d'Allemagne, la dyslexie, le grec... Bref, sur le coup, je ne compris pas grand chose. Elle me parla d'un camp ou je serais en sécurité me montrant une carte sur laquelle le nom d'une ville était entouré de rouge. Vas-y me dit-elle... Mais je n'ai même pas le permis de conduire... Remarquez, lorsque je levais les yeux et que je vis ce qui venait d'apparaître derrière ma mère, le permis de conduire, je m'en contre fichais ! Voyant mes yeux s'ouvrir et ma bouche bée, ma mère se retourna et se retrouva nez-à-nez avec un renard ! Non mais vous y croyez à celle-là ? Un renard en plein coeur de San Francisco ! Et il n'avait pas l'air très commode... Ce dernier passa à côté de ma mère sans même y prêter attention. Ma mère me cria...
C'est pour toi qu'elle est là ! Je t'en prie, démarre !!!
Et justement, je ne me fis pas prier... Je démarrais en trombe, sachant conduire mais n'ayant juste pas l'âge légal, d'autant que je reste citoyen canadien. Regardant dans le rétroviseur, je constatais que je gagnais du terrain sur le monstre. Lorsque je constatais qu'il n'y avait plus de danger, je ralentissais et me rendis là où ma mère me l'avait demandé.
Une fois au camp, je cherchais à comprendre ce que je faisais là, essayant de mettre de l'ordre dans ce que ma mère m'avait expliqué précipitamment. De plus, l'ordre militaire qui régnait ici me déplaisait grandement et même si les entrainements aux armes étaient plutôt amusants, certaines règles et certains de mes petits camarades me prirent vite la tête. Mais je finis par me faire accepter et à me faire une place au sein de ce camp. C'est aussi là que j'appris que la bestiole qui m'avait attaquée était le renard de Teumesse...
Dernière édition par Jan Slange le Dim 2 Aoû - 14:29, édité 11 fois |
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Giulia D. Macchiavelli Coalition ψ CombattantΩ Tablettes : 1633
| Sujet: Re: Jan Slange, wind of change. Sam 1 Aoû - 21:15 | |
| Bienvenue sur le forum ! Tu as déjà fait le plus gros et ton histoire est complète même si une chimère pour un dieu mineur, c'est un peu gros. Je te file un lien si tu veux une liste d'autre monstre : ici (c'est en anglais). Je ne sais pas si tu l'as lu sur le forum, mais un enfant de dieu mineur a une odeur beaucoup moins forte par rapport un enfant de dieu olympien. Si tu veux davantage d'indication sur le camp en général, n'hésite pas à me contacter ! En tout cas, bonne chance pour le reste :3 |
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