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Sujet: Le Royaume d'Andarésia - Demande de Partenariat Mar 10 Fév - 16:18
Bonjour/bonsoir!
Pour commencer, j'ai posté ma demande ici même, en espérant que ce soit bien l'endroit pour. Si ce n'est pas le cas, alors toute mes excuses ^^'
Je viens donc vous faire une demande de partenariat avec Le Royaume d'Andarésia qui est un forum assez récent et qui, l'on espère, vous plaira!
Je me suis permise également de poster votre fiche de partenariat (ici). En espérant que la demande sera accepté, et si c'est le cas, alors votre bouton sera affiché sur notre page d'accueil.
<img src="http://img15.hostingpics.net/pics/852697img02fichepartenaire.jpg" style="float: left; margin-right: 10px;" />L'endroit ressort d'une longue guerre qui a fait de nombreuses victimes. Les loups s'étant libérés du joug des vampires, ces derniers se sont aussitôt lancés à leur poursuite, leur déclarant ouvertement la guerre, et entraînant avec eux dans leur conflit les autres peuples. Le Royaume tout entier étant concerné, le Roi a du faire un choix, et a ainsi donc décidé de soutenir les garous.
«Il était temps pour eux de ne plus être traiter comme des esclaves», déclara-t-il. «Ils sont libres, nous allons maintenant les aider à se reconstruire.»
Et la lutte fut lancé. Dans cette guerre, plusieurs camps se sont formés. Avec les loups-garous, les humains et les nains s'étaient alliés. Tandis que l'on raconte que certaines fées et d'autres elfes noirs avaient engagés la lutte aux côtés des vampires. Les deux forces s'étaient opposés à plusieurs reprises, dans plusieurs parties du Royaume, si bien que certaines d'entre elles furent tout bonnement ravagés. Le nord en fit particulièrement les frais. Au début à puissance égale, les garous finirent par obtenir gain de cause durant une dure et longue bataille qui dura trois jours, et trois nuits. Le dernier assaut se fit de jour, et par surprise. Tandis que les suceurs de sang et leurs alliés pensaient pouvoir se reposer un peu avant la bataille du lendemain, le Roi envoya des Hommes à lui, des Hommes de confiance dans le camp adversaire, pour une attaque surprise, et discrète. On évoque notamment le courage de Reira, la plus jeune commandante en chef des armées royales, et la force de l'impitoyable chef garous, Mandranir. Tous les deux complice disait-on, ils emmenèrent des guerriers farouches avec eux, et décimèrent près d'un quart du camp ennemi, avant de s'enfuir. [...]
L'endroit ressort d'une longue guerre qui a fait de nombreuses victimes. Les loups s'étant libérés du joug des vampires, ces derniers se sont aussitôt lancés à leur poursuite, leur déclarant ouvertement la guerre, et entraînant avec eux dans leur conflit les autres peuples. Le Royaume tout entier étant concerné, le Roi a du faire un choix, et a ainsi donc décidé de soutenir les garous.
«Il était temps pour eux de ne plus être traiter comme des esclaves», déclara-t-il. «Ils sont libres, nous allons maintenant les aider à se reconstruire.»
Et la lutte fut lancé. Dans cette guerre, plusieurs camps se sont formés. Avec les loups-garous, les humains et les nains s'étaient alliés. Tandis que l'on raconte que certaines fées et d'autres elfes noirs avaient engagés la lutte aux côtés des vampires. Les deux forces s'étaient opposés à plusieurs reprises, dans plusieurs parties du Royaume, si bien que certaines d'entre elles furent tout bonnement ravagés. Le nord en fit particulièrement les frais. Au début à puissance égale, les garous finirent par obtenir gain de cause durant une dure et longue bataille qui dura trois jours, et trois nuits. Le dernier assaut se fit de jour, et par surprise. Tandis que les suceurs de sang et leurs alliés pensaient pouvoir se reposer un peu avant la bataille du lendemain, le Roi envoya des Hommes à lui, des Hommes de confiance dans le camp adversaire, pour une attaque surprise, et discrète. On évoque notamment le courage de Reira, la plus jeune commandante en chef des armées royales, et la force de l'impitoyable chef garous, Mandranir. Tous les deux complice disait-on, ils emmenèrent des guerriers farouches avec eux, et décimèrent près d'un quart du camp ennemi, avant de s'enfuir. [...]