Il faut toujours être en bon termes avec le voisinage ! [feat. Joshua M. Eddison]

Il faut toujours être en bon termes avec le voisinage !
Josh & Eva

Je fermais le four d'un coup sec, jetai un regard sur l'horloge au mur et calculai vingt minutes. Bon, ça me laisse le temps de me changer. Je passais de la cuisine à ma chambre et jetai la nuisette que je portais sur mon lit pour ensuite ouvrir en grand la garde-robe de ma chambre et y dénicher un jean gris slim avec un effet déchiré, accompagné d'un chemisier noir. J'enfilais le tout par-dessus des sous-vêtements en satin. Bordel, j'adorais la sensation de ce tissu sur ma peau ! Mon chemisier me serrait légèrement, rajouter à ça le fait que j'ouvrais un des boutons du haut et voilà un magnifique décolleté mis en avant sans faire trop vulgaire. Un frisson de dégoût me descendit dans le dos, en repensant à la voisine du dessous qui s'habillait à la manière barbie vulgaire. Oui, je suis nymphomane et j'adore mètre mes courbes en valeurs... Mais disons que j'avais l'option « classe » qui accompagnait le tout ! Je me regardais dans le miroir un instant et une touche de mascara et eye-liner plus tard me voilà assise sur mon lit à mètre mes talons aiguille noir. Depuis mon accident, c'était toujours une gymnastique de devoir faire ça. Rien que le fait de trop me pencher en avant m'étais encore douloureux, mais ça allait mieux de jour en jour. Enfin bref. Une fois l'exploit accomplis je passais une petite cheine en argent autour de mon cou, un petit diamant en forme de goutte y pendait. J'avais décidé de laisser mon collier magique dans mon appart, ces derniers temps il s'illuminait pour tout. Ma blessure me rendant vulnérable, même une souris devenait un ennemi pour moi. Un regard à ma montre argentée et je me rendais calmement à la cuisine. Je vérifiais que mon gâteau soit bien cuit avant de le sortir du four.

Une petite coiffure improvisée, le gâteau emballé et me voilà devant la porte de l'appartement d'en face. Oui malgré que je sois partisane, j'avais des attentions pour mes voisins... Surtout s'ils étaient aussi mignons que le jeune homme qui venait de finir d'emménager hier soir. Cella faisais trop longtemps que je n'avais pas vraiment été chasser. Une ancienne conquête et une fille innocente avec qui je n'avais rien fait n'étaient pas des proies pour me satisfaire à longue durée ! Aussi étrange que ça puisse sonner : j'avais besoin de chair fraîche ! C'est donc avec un beau sourire que je toquais à la porte du voisin, qui n'avait toujours pas installé sa sonnette. J'espérais juste qu'il m'entende, ou ne m'ignore pas pour ne pas me retrouver comme miss barbie hier soir à attendre vingt minutes. Ah au moins ça avait eu le don de me faire rire de la voir se prendre un vent. Le pire, c'est que je savais qu'il était là. L'avait-il ignoré volontairement ou ne l'avait-il tout simplement pas entendue ? Aucune idée ! Mais je sais qu'elle l'avait déjà croisé une fois. Oui miss barbie est un peu comme moi, elle n'aime pas manquer une occasion de se montrer et de partir chasser. Sauf que comme d'habitude, j'avais l'option « classe » en plus.

Lorsque le jeune homme m'ouvrit, je lui servis un magnifique sourire tout en restant naturelle. Oui, il était très mignon. Un peu plus jeune, mais mignon. Il était grand, semblait très, mais alors là vraiment, très bien musclé. Les cheveux bruns et bouclés étaient accompagnés d'une légère barbe de trois jours, et tout l'ensemble formait quelque chose de vraiment sexy ! Oh pitié faites qu'il ne soit pas gay !

« Bonjour, je suis la voisine d'en face. Je vous apporte du gâteau. J'espère que je ne vous dérange pas ? »

C'est vrai que je comptais lui faire du rentre-dedans, mais je comptais quand même m'assurer d'abord s'il avait une petite amie ou non. D'où ma tenue plus ou moins sage, et non pas cette petite jupe à plis grise agrémentée d'un chemisier blanc. Ha les hommes et leurs fantasmes. Bon ok j'avoue que si je croisais une fille avec une bonne poitrine en ville qui porterais une jupe plissée avec un chemisier il y avait de grands risques que je la drague... Voir même que je la séquestre pour lui faire faire ma volonté. Mais bon, je m'égare un peu du sujet si sexy qu'est mon voisin !

Il faut toujours être en bon thermes avec le voisinage !
Josh & Eva

Aha ! Au moins, il m'avait ouvert, à moi ! Je n'avais donc pas fait tout ce cirque pour rien. J'adorais faire de la pâtisserie certes, mais s'il n'avait pas compris que ce gâteau n'était qu'une excuse, il devait vraiment être naïf. Mais il semblait plus tôt intelligent et enchanté. Il m'invita à rentrer et me remercia pour mon gâteau. Hmmm monsieur à de bonnes manières, j'apprécie beaucoup. C'était tellement rare de rencontrer des gentlemen de nos jours. La majorité des hommes vous sortent des phrases ringardes, ou pensent qu'en étalant leurs biens devant vous vous allez leur sauter dans les bras. Il ne semblait pas fait de ce bois-là et ça me plaisait.

« Merci beaucoup. »

Je franchis le seuil de sa porte avec un sourire, contemple son entre. Encore un peu vide et cartonné, mais bon, il venait d'emménager. Mais je remarquais avec un petit sourire que l'écran plat qui trônait au mur était déjà installé, et qu'un match en rediffusion était sur pause. Ah les hommes et le football. Au moins, il contrastait avec le cliché de l'homme obèse qui n'a aucune hygiène et qui passe ses journées sur le canapé. Non mon voisin n'était vraiment pas ce type d'hommes. Il était plus soigné et musclé. Je penchais la tête sur le côté, tout en l'écoutant parler et en le regardant dresser un couvert en plus. Oui, il était bien musclé. Et avait une manière habille de se mouvoir. Il semblait souple aussi d'une certaine manière. Hmmm... Peut-être que je pourrais essayer quelques petites choses s'il me laisse jouer avec lui. Lorsqu'il eut fini de parler, je lui répondis directement, comme si je n'étais pas en train de le mater et de m'imaginer faire des choses avec ce bel apollon. J'avais de bonnes manières aussi, il ne faut pas croire ! Quoi que, vu ma haine des dieux, je n'allais peut-être pas le comparer à ce dieu arrogant et père indigne.

« Est-ce qu'on peut laisser le « vous » de côté ? Moi c’est Evanora!. »

Oui, une petite vanne, un petit rire naturel. C'était si simple d'embobiner les gens. Surtout les hommes. Concernant l'âge, il devait être plus jeune que moi. Beaucoup plus jeune. Une petite vingtaine ? Ahhh, il est loin le temps de ma jeunesse. Pas que je sois vielle, 26 ce n'est pas être vieux. Mais c'est flippant d'une certaine manière de se rapprocher de la trentaine.

« Je serrais enchanté d'être la charmante compagnie de votre diner Josh ! Vous permettez que je pose le gâteau ? »

Je lui fis un grand sourire avant de faire un geste vers une table plus ou moins dégagé. Oui j'avais l'air légèrement idiote je pense avec ce gâteau en mains. Une fois le gâteau posé, je m'installais sur son canapé. Le truc génial qu'il y a avec les hommes qui regardent souvent la télé, c'est que leurs canapés étaient souvent super confortables. J'indiquais la télé d'un signe de tête :

« Tu regardais une rediffusion des NFL ? Fan de football américain ou juste de sport ? »

Oui, j'avais l'œil pour les détails. Surtout s'ils étaient face à moi sur un écran plat. Et j'avais l'art de poser les questions qui mettent les gens à l'aise. D'habitude. Je remarquais que son appartement était rangé, mais encore un peu nu, ce qui était normal. Je me demande s'il comptait faire des travaux. J'essayais de m'installer plus confortablement et pendant une seconde ma douleur habituelle au ventre se fit sentir. Oh bordel ! Je sentis une grimace déformer mes traits, mais aussi vite qu'elle était apparue, aussi vite, elle avait à nouveau disparu. Putain de mission de merde ! Putain d'épée de merde ! Et putain de demi-dieu de merde ! Et dire que je m'étais faite embroché comme une débutante ! J'allais peut-être devoir attendre un peu avant de proposer à mon cher voisin s'il voulait faire une gymnastique plus poussée ! Enfin au moins je savais faire les trucs habituels. Un peu moins drôle mais tout aussi bon. Je me concentrais sur mon voisin :

« Alors, que propose le grand chef à manger ce soir ? Tu veux un coup de main ? »

Il faut toujours être en bon thermes avec le voisinage !
Josh & Eva

Ah ces magnifiques jeux de dragues. On se cherche sans vraiment montrer son jeux, on lâche des phrases à double sens. Des petits sourires en oins, des regards brûlant. C'était si excitant de chasser à nouveaux. Alors que je l'observais dans sa cuisine, je ne pus m'empêcher de me dire qu'il semblait habille avec le fourneau. Hmmm un homme qui sait cuisiner ! Je lui fis un clin d'œil lorsqu'il me prit la main dans le sac à le regarder. Aller, il est beau gosse, pourquoi se priver du spectacle ? Lorsqu'il me proposa un apéritif, je ne pus m'empêcher de passer ma langue sur mes lèves :

« Tu aurais par le plus grand des hasards du Passoa ? Ça doit bien faire une éternité que je n'en ai pas bue ! »

Oh oui, une vraie éternité ! Et si mon médecin me chopait à boire... Lui qui m'avait interdit de me saouler. Mais bon, un verre ne me saoulera pas ! Josh me sembla entrer dans mon jeu, mais bon, jusqu'au allait-il aller ? Lorsqu'il s'installa sur le canapé, je me tournais vers lui et levais mon verre pour l'inviter à l'entrechoquer avec moi.

« A ton nouvel appartement ? »

Je l'écoutais parler de son ami qui jouait en NFL, tout en lui souriant. Monsieur sais traiter ses amis avec respect. Ah, je sens que si jamais il me portait au temps d'attention mon égo risquerait de devenir accro. L'amitié était une belle valeur, même si jamais rarement l'occasion d'en profiter. Nous étions souvent trop remonter les partisans, pour pouvoir construire des amitiés durables. Elles existaient, je ne dis pas le contraire. Mais disons qu'il y avait majoritairement des alliances à bénéfices, ou des haines qu'on laissait de côté pour servir la cause commune.

« Il est classé quantième ? Tu le verras plus souvent maintenant que tu habites ici non ? »

Je souriais en pensant au lycée. J'aurais pu finir en asociale dans mon école, mais grâce au fils de la directrice d'orphelinat, j'étais devenu populaire. Et aussi grâce au fait que j'écartais les jambes. Mais que voulez-vous ? Être nymphomane et avoir toute une équipe de basket à vos pieds, c'est juste divin comme sentiment ! Je secouais la tête de droite à gauche en rigolant.

« Le lycée, c'est si loin... Mais ce sont de bons souvenirs ! »

Je lui jetais un regard interrogateur lorsqu'il énonça le menu. J'avais un jour entendu un partisans romain en parler mais j'avais été trop occupé à mater un autre type torse-nu pour retenir quelque chose. J'étais intrigué positivement, j'avais envie de goûter, surtout que l'odeur qui se dégageais de la cuisine sentais divinement bon !

« Ça consiste en quoi ? En tout cas, ça sent super bon ! Tu cuisines souvent ? »

Je bus une gorgée de mon verre avant de rebondir sur la fin de sa phrase les yeux brillants. J'aurais adoré découvrir l'Italie. Malgré mon aversion pour les dieux, l'Italie était une de mes destinations de rêve. Voir les petites ruelles, les anciens bâtiments, la culture passée et l'art surtout ! Devinci, Botticelli et tous les autres. ET puis le soleil, les glaces, les pizzas, les beaux italiens ! Hmm !

« Tu as étudié en Italie ? Combien de temps ? Tu n'avais pas le mal du pays ? »

Oui, j'étais curieuse et alors ? Tout en buvant une gorgée de mon verre, j'attendis les réponses.

Il faut toujours être en bon thermes avec le voisinage !
Josh & Eva

Et ben dites donc, mon voisin était quasiment parfait ! Le voilà qui sortais une bouteille de Passoa et nous vessait deux verres. Oui, le gâteau en valait le coup ! Lorsqu'il me regarda droit dans les yeux pour trinquer, je lui retournais son regard et c'est à ce moment-là que je sus que notre soirée ne pourrait finir autre part que dans son lit, pour lui comme pour moi ! Le documentaire sur la mente religieuse qui venait d'apparaître à l'écran me faisais sourire. Oh, j'allais le déguster tout cru mon cher voisin, mais je comptais bien y goûter plusieurs fois. Vu ce que son t-shirt laissait apparaître, il en valait le coup ! En ce qui concerne le football, j'avoue ne pas être au top niveau infos, mais j'adorais de temps ne tend regarder une rediffusion. Il ne fallait pas réfléchir, on connaissait les sores, pas de stress... Et puis regarder les joueurs de football user de leurs muscles... Toujours un régale pour les yeux ! Josh souris à ma remarque, ce que je notais mentalement. Faire sourire les gens n'était pas un des premiers buts dans ma vie, mais ça me permettait de dire que je lui plaisais. Je levais un sourcil intéressé quant à ses études.

« L'art antique ? Ça doit être passionnant. Vous voyez quoi en cours ? »

J'étais vraiment intéressée. Oui, je détestais les dieux, mais j'aimais l'antiquité. Paradoxe ? Pas vraiment. Les dieux avaient eu tout ce qu'ils voulaient avant et maintenant ils n'étaient quasi plus rien. Mais penser à la puissance qu'ils avaient eu ... Que nous pourrions reconquérir ? Et puis l'antiquité était un peu mes racines ; celle de ma famille. Le fait de détester les dieux ne veut pas dire détester ce que l'on est ! J'étais fière d'être demi-déesse. Et j'adorais l'antiquité ! Bon naturellement, je ne pourrais pas fanfaronner avec mes connaissances devant lui. Une simple mortelle sans diplôme universitaire qui connaîtrait trop serrait louche. Je préférais m'en tenir à la version d'une grande amoureuse de l'antiquité, mais sans plus.

« Tu retournes quand en Floride ? »

Ça aussi, c'était un point intéressant à éclairer. N'était-il ici que de passage ? Où allait-il revenir de temps en temps ? Disons que se serrais vraiment dommage de perdre une telle beauté ! Il ne me répondit pas à la question du menu. Bon et bien, j'attendrais. L'odeur ne semblait pas mauvaise, du coup, je n'étais pas stressé de devoir jouer la fille qui aime alors qu'elle est sur le point de vomir. Lorsqu'il me servit un sourire amusé suite à mes questions sur l'Italie, je devais avouer être éblouie un instant. Il était vraiment très bel homme ! C'était rare de tomber sur un tel spécimen célibataire et non-gay. Enfin pas qu'il l'a dit, mais disons que son regard sur moi était tout sauf un regard désintéressé !

« Ça devait être sublime. Les anciennes ruelles, les gens... Les glaces aussi non ? »

La dernière phrase était sur le ton de la plaisanterie. Il y avait beaucoup mieux à voir à Rome que les glaces ! Je remarquais qu'il avait d'excellentes manières presque trop excellentes lorsqu'il m'accompagna à table.


« Et bien moi qui avais peur de tomber sur un rustre, je peux dormir tranquille maintenant. D'où tiens-tu tes manières de gentleman si je peux demander ? »

Un compliment amplement mérité. C'était rare que j'en fasse d'ailleurs, mais il m'avait marqué. Et puis bon un compliment de temps en temps ne pouvait pas me tuer non plus... Même si je préférais largement en recevoir que d'en donner. C'est ça être une petite égocentrique. Savoir qu'on est sublime mais adoré l'entendre encore et encore ! Lorsque je vis le repas, je ne pus qu'être agréablement étonnée. Simple mais délicieux. D'ailleurs, le gémissement qui m'échappa après la première bouchée en était la preuve parfaite. Une fois la bouchée avalée, je ne pus m'empêcher de lâcher sur le ton de la plaisanterie :

« Je viendrais manger en ta compagnie tous les soirs si tu cuisines toujours si bien ! »

Je tiquais un peu en voyant les deux bouteilles de vin blanc. J'avais déjà bu deux verres de Passoa, était-ce vraiment raisonnable ? Mon médecin me dirait probablement que ça ne l'est pas, mais je connaissais mon seuil de tolérance, même avec ma blessure, et je décidais que deux verres pouvaient bien accompagner ce succulent repas. C'est en pensant à ma blessure que mon humeur s'assombrit un peu. Je n'étais pas infirme, je savais bouger et j'avais assez récupéré pour passer une bonne nuit avec un homme, sans extravagance, mais une bonne nuit quand même. Le tout, c'est de savoir si Josh allait être dégoutté ou non, la cicatrice sur mon ventre étant toujours visible. Ah bordel pourquoi est-ce que ce putain de demi-dieu avait réussi à m'embrocher aussi hein ?! Pour les mortels, j'avais rendu visite à un ami sur le chantier de sa nouvelle maison et après une chute malheureuse, je m'étais prise une tige en métal qui m'avait perforé le ventre. Inutile de préciser que la tige en métal était faite de bronze céleste et que le coup était volontaire ! Mais bon, ça ne me donnait pas d'idée sur la ligne de conduite à opter. Lui dire au fils de la conversation, attendre le bon moment et voir sa réaction ou l'exciter et le laisser découvrir par lui-même la chose horrible qui barrait mon ventre ? Je décidais qu'il valait mieux trouver un bon moment avant. Je n'avais pas envie de rentrer frustrée parce qu'il m'aurait trouvée moche et difformé. Voir infirme. Bon sang dés qu'on prononçait « cicatrice, déformation, léger handicap » aux hommes, c'était comme si d'un coup, on devenait la chose la plus repoussante au monde !

Je décidais pour l'instant de profiter du moment présent et d'apprécier la conversation variée et agréable de mon voisin. Refusant poliment lorsqu'il voulut me servir un troisième verre de vin. Il avait vraiment d'excellentes manières et j'appréciais de plus en plus le fait d'être traitée avec au temps d'attentions. Hmmm si tous les hommes pouvaient me traiter comme ça ! C'est lorsque je voulus ramasser ma serviette qui avait glissé que ma cicatrice me rappela sa si agréable présence. Je me tenais d'une main à la table, l'autre posé sur le ventre et je sifflais entre mes dents essayant de calmer la douleur. Oh bordel de merde ! J'allais retrouver cet enfoiré et lui régler son compte ! Je détestais être vulnérable, je détestais ne pas pouvoir avoir ce que je veux et quand je veux à cause de cette chose hideuse. Cette chose horrible qui pouvais à tout instant mettre fin à une si agréable soirée !