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 Ton courage, ton soutien tu les trouveras chez les tiens [ Jake]

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MessageSujet: Re: Ton courage, ton soutien tu les trouveras chez les tiens [ Jake]   Ton courage, ton soutien tu les trouveras chez les tiens [ Jake] - Page 2 EmptyVen 28 Nov - 23:55

Will & Jake


Avoir un pote, c’est un peu comme avoir une épine dans le pied, mais une épine du genre super agréable. Un truc complètement débile en somme. Mais je l’aimais bien ce gars, aussi chiant pouvait-il être ou se montrer parfois. William et moi, c’était à la vie à la mort, quelque chose que j’espérais indestructible. Et dont je ferais tout pour, d’ailleurs. Ce fou était un peu le mien, en fait. Bon, okay, il avait d’autres amis, ce qui était tout à fait compréhensible vu le nombre de pensionnaires que comptait la colonie. Et à cela, il fallait ajouter le monde côté humain, que William connaissait lui aussi. En clair, je n’étais pas le seul ami de William, mais encore heureux, j’étais le meilleur. Oh, un peu d’orgueil ne fait de mal à personne, hein. Et puis, William demandait beaucoup d’attention, beaucoup d’entretien aussi. J’étais suffisamment courageux pour affronter les épreuves d’une amitié avec ce mec. Ouais, montons un autel à ma vertu, je méritais au moins cela. D’accord, je prends la porte. Je crois que la fatigue me faisait quelque peu délirer, mais j’avais encore la possibilité de garder la bouche fermée pour contenir la folie qui était mienne. Au moins, était-ce cela. Je n’irais pas déranger William avec mes propos sans queue ni tête, bien que je savais qu’il accepterait tout des affres de mon cerveau épuisé. C’est ce que l’amitié entrainait. Pas celle, éphémère que l’on trouve à tous les coins de rue, mais celle qui semble indéfectible quelle que soit la tempête qui puisse se profiler à l’horizon. Et il n’y a pas à dire, avec tout ce que l’on a pu affronter, William et moi, les épreuves, nous y étions préparés. Ne serait-ce que les problèmes du cœur que tous deux avions pu rencontrer. William n’était pas encore prêt à se remettre de son histoire, ce que je comprenais, même si j’espérais que le contraire vienne rapidement. Il était temps pour mon meilleur ami de tourner la page, de ne plus penser à cette fille, et de se souvenir de la définition du mot Amour. Oui, c’est vrai, je suis mal placé pour parler de cela. Je n’étais jamais tombé amoureux, jamais véritablement, mais j’avais aimé à ma manière certaines des filles qu’il m’ait été donné de rencontrer. Et ce, avec respect et sincérité. Toutes possédaient des qualités qui m’avaient séduit, et je ne parlais pas que d’atouts physiques.

« Il me faudra donc travailler davantage pour t’offrir la bague que tu mérites tant. » Je tournais la tête pour lui faire un clin d’œil, cessant de nettoyer quelques secondes. « Pour me supporter, tu mérites le meilleur. » Puis, je repris ce que je faisais, attentif à ce que tout soit propre. Le comptoir était propre, la table de préparation également. Ne restait à présent que le sol à balayer. J’attrapais l’ustensile adéquat et commençais à nettoyer le sol, créant une sorte de petite brume au-dessus du sol, qui me fit grimacer. Pitié, que cela reste bas, et ne monte pas. Parce que le haut était déjà nettoyé et que je ne souhaitais aucunement réparer une seconde fois les bêtises de mon andouille de William. Je cessais une nouvelle fois ce que je faisais pour me concentrer aux questions du fils de Mister D, questions qui demandaient pas mal d’attention en fait. Pensivement, j’appuyais mon menton sur le manche du balai, tout en songeant que le ménage n’allait jamais finir à ce rythme là, mais que voulez-vous, William avait besoin d’être rassuré, et il parait que c’était l’un des rôles inscrits dans la charte de l’amitié. Ca et apporter de la bouffe quand l’autre est malade. Jetant un coup d’œil au nez de William pour vérifier qu’il n’était pas rouge, et que ses yeux semblaient aller bien, je me rassurais sur le fait qu’il ne semblait aucunement malade. C’était déjà ça de gagné. Au moins, maintenant, je pouvais me concentrer sur cette charmante Charlie dont il me parlait encore. Ô Joie. N’allait-il donc jamais lâcher ce sujet ? J’avais des doutes. Mais la guérison prendrait le temps qu’il faudra, et moi je serais là. Avec mes pâtisseries. Inspirant profondément, parce que mon cerveau avait tout de même pris ces quelques secondes pour réfléchir aux réponses que je pourrais donner, je croisais enfin son regard.

« Ecoute mec, je crois que tu as été parfait avec elle, et que tu lui as apporté ce dont elle avait besoin. T'arrêtes pas de ressasser votre fin, mais tu te souviens pas comment elle souriait en ta présence ? Je la connais pas comme toi, et franchement, elle m’intéresse pas, pas alors qu’elle te fait souffrir. Mais… Willy, oublie-la, sérieux. Oublie-la, et passe à autre chose. » Il était possible qu’il se mette en rogne, n’appréciant pas que je lui demande de l’oublier, mais, c’est ce que j’aurais aimé pour lui, pour qu’il ne soit pas blessé davantage. Quand il en vint à parler de casting, je me mis à sourire, en balayant un peu plus fort. « Encore faudrait-il qu’il y en ait qui se présentent au casting, mon cher. » Oui bon, il était certain qu’il y aurait foule en fait, mais ce n’était pas mal non plus qu’il y ait une aiguille parfois pour dégonfler les chevilles de Willy. Je regardais ensuite le sol, en fronçant les sourcils devant son éclat de voix. Puis je redressais la tête vers lui. « Quoi ? Qu’est-ce qu’elle a ma manière de balayer ? Si ça te plait pas, fais-le, hein. » Lui dis-je en boudant presque, tout en lui tendant le balai. Après tout, c’était lui qui en avait foutu partout à la base. Maintenant, on ressemblait à deux bonhommes de neige de mauvaise qualité.

lumos maxima
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MessageSujet: Re: Ton courage, ton soutien tu les trouveras chez les tiens [ Jake]   Ton courage, ton soutien tu les trouveras chez les tiens [ Jake] - Page 2 EmptyDim 7 Déc - 21:35


     

     

     Jake & Willy
     Et pourtant tu verras nous marcherons près de toi.

     L’amitié ce n’est clairement pas facile tous les jours. Il y a des temps où il faut savoir lire entre les lignes tandis que l’autre essaie par une fierté n’ayant rien à faire dans ce cadre, de cacher des choses. Mais par tous les dieux, qu’est-ce qui pousse une personne à faire le malin et à cacher ses blessures, le véritable ami connaît de toute façon toute la vérité sur tout ce que pense l’autre. Will n’était donc pas très malin d’avoir essayé bêtement de cacher qu’il n’était pas très bien, bon bien sûr lorsqu’il était malade, Jake était le premier au courant. Ne serait-ce que parce qu’un William malade c’est un William qui se plaint sans arrêt, pour un oui ou pour un non, oui comme cette fois-là où Jake avait dû se retenir de l’étouffer à coup d’oreiller parce que le fils de Dionysos en rajoutait un petit peu. Non mais après il faut relativiser, c’est toujours utile d’avoir des amis comédiens comme William, que ce soit dans le tragique ou dans le comique, il n’est jamais le dernier à montrer ses talents. Pas de doute, Jake était un bon ami quand même. De toute façon, Willy n’était pas encore assez fou pour aller voir quelqu’un qu’il n’aimait pas trop… voir pas du tout mais la liste était tellement longue qu’il valait mieux ne pas la commencer où ça continuerait dans une cinquantaine de jours. Il y a cependant une différence entre apprécier quelqu’un, échanger des banalités, lancer des regards qui veulent tout dire et le reste. Le reste qui fait que malgré tout ce qu’ils pouvaient se dire, ces deux gars reviendraient l’un vers l’autre, ces deux gars passeraient sans le moindre doute des heures à veiller si l’autre avait un problème, quitte à avoir les yeux rougis par la fatigue, les cheveux en bataille à force que la main vienne se perdre entre deux bouclettes. Rien n’était plus précieux aux yeux de William que cette amitié et même s’il trouvait son âme sœur en ce bas monde, il ne la laisserait jamais l’éloigner de Jake, parce que ce serait vraiment trop con de foutre en l’air son histoire pour une fille. Surtout quand Jake veut s’épuiser à la tâche pour acheter une bague à son presque fiancé platonique. Le dit fiancé roula des yeux d’un air excédé même si le reste de son visage montrait par A + B qu’il trouvait l’idée admirable et très amusante. Enfin pour le moment, le futur acheteur de la bague était très occupé à rendre à cette pièce son éclat d’antan, chose que William comprenait même si pour l’instant il ne se rendait pas indispensable à la propreté, il comprenait que Jake prenne soin au maximum de son petit nid douillet. Il lui fit une espèce de grimace, devant au départ s’apparenter à un sourire quand l’imbécile osa prétendre qu’il fallait le meilleur pour supporter Jake. Ce n’était pas le cas, Jake était plutôt cool avec l’âge, bon petit ce n’était pas vraiment le gars le plus amical au monde. Will n’était pas non plus la personne la plus agréable au monde, chose qui avait changé avec l’âge, enfin il l’espérait quand même un petit peu. Il toussota d’un air très distingué tel un comte dans les films d’avant-guerre.

" Voyons mon brave, quelle drôle d’idée de se critiquer ainsi. Je ne serais pas là si vous n’étiez pas à la hauteur, j’ai tellement d’amis dans ce monde. "

Par la suite, c’est vrai que William posa certaines questions qui le taraudaient, il n’avait pas toujours toutes les clés en main pour comprendre les autres. Il est aussi difficile de se voir tel que l’on est, certaines fois il se pensait bien plus doué qu’il ne l’était et par moment il se critiquait avec véhémence pour des actes sans intérêt.  La question ne devait pas être simple puisque Jake arrêta tout mouvement, il posa son menton sur le bout du balai comme si William était un enfant à qui il fallait expliquer la vie, ce qui sans être désagréable était assez perturbant. Alors, le fils de Dionysos se tint immobile comme s’il craignait que bouger l’enfoncerait davantage. Lorsque Jake prit la parole, son meilleur ami était comme pendu à ses lèvres écoutant attentivement essayant de prendre en compte ce qu’il disait. Un instant il fronça les sourcils, bien sûr qu’il se souvenait des bons moments en la présence de Charlie, c’est juste la fin qu’il ne comprenait pas et du coup ça empiétait sur le reste. Par contre, oublier ce n’était pas si simple. Avec une ébauche de sourire même si en soi cette idée ne le faisait pas spécialement rire, il rajouta donc à la fin des propos de son ami.

" Si tu as une potion pour faire oublier ce genre de chose, mets là dans ta pâtisserie, tu feras un malheur ! "

L’instant d’après, l’ambiance était bien plus joyeuse. Il faut dire que Jake ne manquait pas une occasion de taquiner William qui avait tout de même bon dos. A part râler pour la forme, c’est très important la forme. Il ne l’envoyait pas chier tant que ça, se contentant de répondre avec humour pour ce qui était du casting. Non parce que ça aurait fait trop plaisir à Jake que Willou s’énerve de la sorte pour si peu, il valait donc mieux se la jouer bon camarade et éviter de lui donner un coup de balai. Surtout qu’il nettoyait depuis dix minutes et mettre du sang partout c’est crade.

" Non mais tu sais je peux les payer pour qu’elles se présentent. Comme ça tu vas croire que j’ai du succès alors que pas du tout. Et dans 70 ans quand tu seras dans ta maison de retraite et que je veillerais sur ton cul comme toujours, je te dirais tu te souviens que j’étais un coureur de jupon hors pair à l’époque. Je vais t’épater mon petit Jake, j’aurais ma copine avant toi ! Tu tiens le pari, beau parleur ? "

Bon beau parleur en question était tout de même un peu susceptible. Il osa faire la boude lorsque William lui expliqua, gentiment en plus, qu’il balayait comme un manche à balai. Blague assez bonne d’après William mais qu’il n’osera pas dire à voix haute, tout de même. Avec un sourire prétentieux. Will attrapa donc le balai et s’empressa de lui montrer chaque mouvement, décomposant au maximum ses gestes pour que le fils d’Iris et tout ça sans prononcer la moindre parole. Histoire d’être effectivement le gars le plus insupportable au monde, mais il le vivait bien. C’est le principal.
     
BY .SOULMATES

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MessageSujet: Re: Ton courage, ton soutien tu les trouveras chez les tiens [ Jake]   Ton courage, ton soutien tu les trouveras chez les tiens [ Jake] - Page 2 EmptyJeu 11 Déc - 18:43

Will & Jake


Le ménage allait être fini. J’en avais décidé ainsi, et rien ne pourrait se mettre en travers de mon chemin, pas alors que ça faisait un moment qu’on était dessus, et que la farine, c’était méga chiant. D’ailleurs, je n’avais plus du tout envie de le laisser faire la cuisine dans… Bah, dans ma cuisine. Pas alors que ce grand débile n’était pas fichu de mettre un capot avant d’appuyer sur start pour la machine qui touille tout. Hé hé, la touilloteuse, quoi. Oui, la joueuse ne se souvient pas du nom de cet ustensile et pense que ce mot, somme tout simpliste, est suffisamment clair pour que tout le monde y trouve son compte. Sauf évidemment, celui qui avait trouvé le premier nom à l’objet. Ah. Ah. Tant pis pour lui. Donc, plus de cuisine, enfin plus de pâtisserie pour son cher ami possédant deux mains gauches – et une clef de son appart’ – tant qu’il n’aurait pas appris à se servir de tout ça. Balayant encore – et toujours – avec des gestes dignes de la plus douée des Cendrillon, je me demandais un peu si la fumée de farine allait s’élever dans les airs pour foutre tout mon travail en l’air. L’est certain qu’elle m’entendrait grogner la farine dans ce cas. Pas sûr que ça lui fasse quelque chose, mais mon soulagement serait là, et pour ma santé mentale et mon égo, ça irait bien. Donc, je regardais avec intensité les milliards de mini grains de farine qui voletaient tranquillement sans se douter de ma future colère, en espérant que si je les regardais avec suffisamment de concentration, le pouvoir de mon esprit se matérialiserait et pouf, tout serait parterre. Et propre, tant qu’on y est. Non, faut pas rêver, mais si, un peu quand même. Sinon, je deviendrais fou. Surtout devant les commandes que je pouvais recevoir parfois. « Est-ce que vous faites des hot-dog ? » Hein ? Il a cru que mon café librairie, était un resto routier ou quoi ? En général, je dégaine mon super sourire commercial, en essayant de convaincre des bienfaits du sucre, du chocolat, voire des fruits selon les gouts. Bizarrement, je suis bien plus convainquant quand j’ai une représentante de l’espèce féminine en face de moi, que lorsque je tombe devant un mec qui veut absolument de la viande. Ben non, manque de pot, dans mes pâtisseries, il n’y a ni bacon, ni steak haché, et encore moins des patates. Désolé. Ou pas.

Donc, nous étions de retour sur le sujet Charlie. Cette fille, je ne la connais pas, mais je crois qu’à force de parler d’elle, elle a juste fini par me saouler prodigieusement. Sans compter qu’elle a blessé mon pote, et qu’apparemment, elle continue des années après. Okay, Willy était un manche niveau sentiments, qui aurait dû l’oublier depuis un bail, mais voilà, entre amis, on se range du côté de son poto, c’est comme ça. Le fait que Willy me réponde, et parle au sujet de cette fameuse potion d’oubli me fit me pencher sur la question. Pas littéralement, hein, sinon, je tomberais avec le balai, en l’octroyant un air encore plus con que d’habitude. Non, là, je me contentais de m’intéresser à l’idée, en me demandant si les filtres liés à la mémoire existaient et se commercialisaient. Parce qu’après tout, William pourrait peut-être oublier Charlie comme ça, et continuer à vivre. Mais bon, il ne serait plus le même, j’en avais conscience, et je n’étais pas prêt à ce qu’on me change mon William du tout au tout. Il était entier, avec sa blessure au cœur, et son vague à l’âme, et je ne voulais pas qu’on me le casse davantage. Surtout que malgré ce léger problème sentimental, cette andouille était capable de sortir les pires conneries, suffisamment folles pour faire rire quiconque se trouvant dans le coin. Pas certain qu’en oubliant les moments passés avec Charlie, ça ne détruise pas ce petit quelque chose qu’il avait dans le cœur. Je ne voulais pas. On me le laisse dans cet état, de toute façon, il était suffisamment fort pour aller mieux un jour. J’avais confiance. Et je serai là.

« Pari tenu, mon ami. Mais ne viens pas pleurer sur mon flambi, dans 70 ans, parce que tu n’auras pas réussi à tirer ton coup, hein. » Je lui fis un léger sourire en coin, qui devint provocant, lorsqu’il attrapa le balai. Voyons voir comme il se débrouillait avec cet instrument de malheur. Veillant au grain – c’est-à-dire, à ce qu’il n’en foute pas partout – je repris ma vaisselle et terminais le tout. Allant chercher l’aspirateur de poche, vous savez le truc sans fil, et sans manche, mais juste portatif, j’aspirais le tas de farine au sol, et grimaçais en me rendant compte qu’il faudrait un coup de serpillère, ou nous allions en foutre partout avec nos godasses. Soupirant, j’allais chercher ladite serpillère – non, à peine maniaque – et obligeais mon crétin de meilleur ami à retirer ses chaussures derrière le bar. Il me les refila sous la menace – ou pas, ça dépend si Willy est sage et obéissant – et je leur passais un coup d’éponge en dessous, en espérant que les chaussettes du garçon ne soient pas contaminées. Je nettoyais la cuisine rapidement, puis le passage jusqu’aux instruments de nettoyage, où visiblement, j’avais laissé des traces. Puis, je fis mes propres chaussures. Avant de soupirer d’aise, en voyant que tout était nickel. Au final, je pris un plateau, sur lequel, je disposais jus de fruits, bières – en tapant sur la main de William au passage quand il voulut en attraper une – céréales, madeleines maison, et d’autres conneries du genre avant d’aller nous installer devant la télé pour les prochaines heures. « Programme farniente. » En clair, on ne foutait rien. Il était déjà suffisamment tard comme ça, avec tout ce ménage imprévu. « Si tu as faim dans la nuit, y a des steak dans le frigo. » La totale flemme de faire à manger, plus que ces trucs à grignoter. Attrapant un oreiller sur je plaçais dans mon dos – bonjour papy – j’enclenchais la télé, espérant qu’il n’y ait pas un truc trop débile pour une fois. Et voilà comment nous passâmes la soirée. Comme deux glandus, au sourire joueur. Et franchement ? C’était le pied.

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