| Sujet: De retour des méandres de l'olympe, l'uppercute violent d'un coeur tendre- Viktor Voliakov Mer 26 Aoû - 1:11 | |
| Viktor Voliakov « Uppercut violent d'un coeur tendre » | Hello tout le monde, je me présente je me nomme Victor Voliakov. Je suis originaire de Saratov en Russie et je suis née le 29 Décembre. J'ai rejoint la Coalition il y a de cela 19 ans, avant même qu'elle ne soit connue sous ce nom, pour ces raisons : je suis un demi-dieu, je ne renie pas mes origines et je suis fier de ce que je suis, et je ne trahis pas mes paires. Je suis le descendant d' Arès, Dieu de la guerre Mon but dans la vie est de protéger les autres membres du camps, ma précieuse famille, et je ferais n'importe quoi pour protéger mes amis. Beaucoup ont remarqué que j'avais des tics et manies, comme avoir toujours le sourire aux lèvres (sauf quand je devient sérieux), légère manie à faire craquer mes phalanges, et j'appelle tous les plus jeune "gamin", respectueusement bien entendu. Et voilà, vous en savez bien plus sur moi, on peut donc passer à autre chose. |
Protecteur | Violent | Patient | Impulsif | Loyal | Hypersensible | Jovial | Rancunier |
Puisque je suis dans le camp des demi-dieux (et des dieux même si ce n'est pas le plus important dans notre situation) voilà ce que je pense de l'organisation qui s'est formé et qui a pour but de nous anéantir: La guerre à été rude, et nous sommes assez peu à en être ressorti entier, debout, et surtout clair dans nos esprits. les plus faibles ont flanchés, je ne leur en veut pas, mais retourner leur haine contre les Dieux n'est pas une solution. Si je devais défendre une cause, je défendrait ce en quoi je crois, je lutterai pour le paix. Pouvoir ψ Déviation Arme ψ Deux poings américains Objet magique ψ // Compétence ψ physique: maîtrise d'une arme CaC; endurance intelligence: Premiers Soins; Connaissance de la physiologie humaine (2) Charisme: Éloquence basique Agilité: Esquive; Déplacement silencieux. Maintenant que vous connaissez bien mon personnage, c'est à mon tour de me présenter. Mon pseudo ou mon prénom est VI. Je suis âgé de 18 ans et ça fait 2 ans que je suis sur des forums RPG (notamment HOH, et ouais ^^) . J'ai découvert Heroes of Honor de la façon suivante la magie des top-sites et la raison pour laquelle je me suis inscrit est l'univers qui me plait énormément. En lisant le règlement, je suis tombé sur ce code Violence Vaine. J'ai choisi cette célébrité pour représenter mon personnage Jude Law et le crédit des gifs et images que j'ai utilisé pour ma fiche de présentation sont Tumblr ^^. Puisque j'aime bien parler je vais rajouter que je suis présent sur ce forum depuis déjà un an, et que ça fait foutrement plaisir d'y revenir!!! GG les admins ! | Caractère bien plus détaillé du personnage: Pendant longtemps, j'ai été considéré comme une sorte de grand frère par les membres les plus jeunes du camps. Sérieux, déterminé, calme, j'incarnait une sorte de modèle pour eux, que le monde avait séparé de leurs familles. Loin de les materner, j'étais leur confident dans leurs heures les plus sombre, leur ami lors des meilleurs moment, et leur frère quand ils avaient besoin de moi. Je dirigeais les entrainement au combat des jeunes recrues, les aidant dans leur apprentissage. Aussi, en temps que fils d'Arès, je passait beaucoup de temps à m’entraîner. Le seul point négatif, qui en choque plus d'un, est mon aversion totale pour les armes: me pointer avec une lame ou un revolver est la pire des idées, si on tient à la vie. Après la guerre, j'étais l'un des rares encore debout dont l'esprit n'était pas embrumé. Beaucoup ont baissés les bras ou ont été recueilli par les brigades anti-dieu, et sont ainsi devenus nos ennemis, mes ennemis. Je hais faire du mal à ceux que j'aime, même si eux ne perçoivent pas les choses de la même façon. Ma fonction n'a pas changée, je suis toujours le "grand frère" du camp, souriant et amical, mais la tension me rend impulsif et j'ai du mal a contenir les sauts d'humeur qui m'arrivent de temps à autre. Dans ces cas là, je m'isole au pied d'un arbre et je parle seul (habitude que j'avais prise au premier camp grec, en haut de la colline où trônait un arbre gigantesque). |
Il était une foisMon histoire ? Pas sur que ça t’intéresse gamin, ça remonte à loin tu sais...
Il y a longtemps, une trentaine d’années peut-être, dans le grand froid d’un hiver rude en Russie, une femme de bonne famille (noble sans doute) donnait naissance à ce qu’elle n’avait jamais voulu porter. Allongée dans la neige, elle maudissait le ciel du maléfice qu’il lui avait jeté, de cet enfant illégitime qu’elle avait porté, né d’une petite aventure sans envergure avec un homme simple comme il en existe des milliers. Elle devait cacher l’enfant, car elle ne put se résoudre à le tuer, ni même à l’abandonner dans le froid. Elle le ramena, prétextant l’avoir trouvé sur son palier de porte. Naturellement, les éclats de sa « bonté » embellirent le nom de sa famille, mais l’histoire ne fut pas heureuse pour tout le monde.
Le jeune garçon grandit, années après années, dans la solitude et l’absence d’amour de ses « parents ». Mais vois tu, gamin, le jeune enfant ne se sentait jamais seul, il rêvait, fabulait sur les sentiments de ses parents envers lui. Il était fier de cet homme appelé père, auquel il ne put jamais adresser un seul mot, et de cette mère qui le fuyait comme la peste. Oui, on peut le dire, il était plutôt simplet, plus même, il était inconditionnellement heureux.
Vers sers 5 ans, sa famille quitta la Russie pour aller s'installer au plus près des affaires de son père, à la frontière entre le Canada et les Etats Unis. L’âge avançant, il entra à l’école . C’est à cette époque que l’imbécile heureux perdit le sourire, et devint plus livide, il perdit le peut de choses auxquelles il s’était toujours raccroché, il était comme l’ombre d’un fantôme, pâle et faible. « Sale gosse de riche ! », « t'as rien a foutre la le ruscov !», tout cela était une rengaine journalière, devenue routinière, quand ce n’était pas un passage à tabac de la part de ses propres camarades. Les coups ne lui faisaient plus mal à force, et il ne se défendait jamais. Lassé de revoir ce peureux rentrer tous les soirs plus en lambeaux, le père se décida à l’inscrire a quelques cours de self-défense, seul et unique geste qu’il eut fait pour lui. Alors l’enfant opta pour la boxe. Les progrès ne furent pas fulgurants, la force du chétif garçonnet était risible. Seule sa hargne le poussait à continuer. Lui qui avait maintenant compris le désintérêt de ses parents, voulait au moins les rendre un peu fier de lui, et ce n’était pas par l’enseignement qu’il y parviendrait, car il était de plus analphabète. Ce n’est que vers ses cinq ans qu’il remarqua que les coups qu’il prenait se faisaient de plus en plus rares. Non pas qu’il se fut meilleur en esquive d’un seul coup, mais que les frappes adverses ne l’atteignaient plus, elles étaient comme déviées par un voile invisible. Les ouvertures dans la défense adverse lui parurent bien plus flagrantes, il en tira un immense avantage. Bien qu’il ne contrôlait pas parfaitement cette « magie », il parvint à se faire un petit nom en temps que boxeur grâce à elle. Le garçon chétif était devenu un homme fort, capable de se défendre. Il s’épanouissait dans ce sport, qui lui permettait d’évacuer toute forme de rage, de stress et de tracas. Un jour cependant, à la suite d’un match de qualification remporté haut-la-main, son adversaire, énervé par son inexplicable défaite, le poignarda dans le dos. La lame passa à deux centimètres du rachis dorsal, ce qui permit d’éviter l’handicap a vie, mais de justesse. Toute activité professionnelle de haut niveau lui était désormais interdite. Il prit alors conscience de deux choses, la première étant la limite de son don : il ne peut éviter ce qu’il ne voit pas, et la seconde est l’aversion inconditionnelle qu’il s’était mis à nourrir envers toute forme d’arme, surtout les lames. La vue d’une de ces choses lui fait perdre son sang froid, il devient rapidement irraisonnable.
L’agression fut très vite réglée, le coupable fut puni, mais le jeune homme ne retrouva jamais plus le plaisir de se battre comme avant. Son « père » enterra la polémique autour du sujet en dénonçant la faute de son « fils », qu’il appelait désormais « l’autre », lui reprochant une triche abusive dans l’espoir de devenir quelque chose d’autre qu’un déchet. C’en fut trop pour le jeune homme, qui s’enfuit en laissant tout derrière lui. La vie devint dure sans foyer, les nuits à la belle étoile ne réchauffaient ni son corps ni son cœur. Il se rappelait ainsi ses longues soirées de solitude étant enfant, l’imbécile heureux ne l’avait peut-être pas quitté finalement ?
Tu vois gamin, l’histoire aurait pu se finir comme ça, sur une fin plus ou moins banale, mais les autres enflures sorti de vieilles mythologies on pas voulu me laisser la paix que j’avais finalement réussie à trouver. La première venue m’emmerder était une harpie. Elle m’avait collé de ces jetons, je ne pense pas avoir couru aussi vite de toute ma vie. J’ai fini par être coincé, acculé dans une impasse. J’ai du me retourner et regarder la créature s’avancer vers moi, et j’aurai de tout cœur voulu lui faire face, mais je ne tenais plus debout tant je tremblais. C’est alors que, sorti de nulle part, une autre créature humanoïde mi-bouc s’interposa entre la harpie et moi. La suite reste floue, mais ce dont je suis absolument certain, c’est que je ne rêvais pas. La suite fut très dure à avaler. Moi, un demi-dieu ? C’en était tellement risible que j’ai éclaté d’un rire profond et sincère, le plus chaleureux que je n’ai jamais fait, et le premier aussi. J’étais heureux, il me restait donc une personne sur qui je pouvais compter depuis tout ce temps ? C’était dur à croire, mais je préférais nettement ce choix de vie à ma misère de l’époque. C’est ainsi que j’ai rejoins le campement grec en Amérique. Ma vie au camp m'a apprit beaucoup, j'ai eu d'innombrables moments de bonheurs, ainsi que quelques moments de peine, mais je n'ai jamais trahi la chance que l'on m'a donné d'être quelqu'un. Ce camps représente tout pour moi, et tu vois, j’ai aujourd’hui 35 ans, ça fait belles lurettes que je suis ici, et je m’y sens bien. J’ai des amis, des camarades. J’ai enfin une famille.
Dernière édition par Viktor Voliakov le Jeu 27 Aoû - 0:30, édité 4 fois |
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